Côte-d’Ivoire – Des pro-Affi menacent les pro-Gbagbo (témoignage de Jean Dékpai)

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Jean Dékpai (gauche)

Mise en garde

Depuis dimanche soir, je suis l’objet d’attaques non fondées et d’injures inutiles dans ma boite à messages privés Facebook (inbox). Je voudrais ici vous rappeler, sinon le vous dire clairement et pour la dernière fois que je m’en fous de Affi N’guessan. Son combat actuel ne s’apparente ni à ma lecture de la situation contextuelle présente encore moins de ma conviction politique.

Quand en 1990, alors très jeune lycéen je m’engageais pour l’avènement de la démocratie, le multipartisme, le respect des droits humains et l’acceptation de la différence de l’opinion politique, je ne comptais sur personne pour me faire un nom, pour forger ma personnalité politique. Quand en octobre 1990, Gbagbo se présente contre Houphouët, c’est volontier que j’ai été délégué de bureau de vote, tant pour la présidentielle que la députation à l’école primaire Agaman et fils à Abobo, quelque part derrière le CMA pour le compte du Fpi.

Quand toujours en 1990 après l’année blanche, je signais mon entrée à la FESCI avec toutes les épreuves que j’ai affrontées et connues, épreuves qui font que vous m’appelez « Commissaire caillou », je n’ai consulté personne. C’est dans l’action et sur le terrain que nous nous sommes rencontrés, c’est sur le terrain que beaucoup d’entre vous m’ont découvert. Alors arretez de me harceler.

Ma seule voix ne va pas faire perdre le congrès à Affi N’guessan.

La seule chose qui m’intéresse actuellement c’est la lutte pour la libération de mon père politique et spirituel SEM le Président Laurent Gbagbo, de mon ami et frère le ministre Charles Blé Goudé, de madame la première Dame de la république insoumise de Cote d’Ivoire, Ehivet Simone Gbagbo et de tous mes parents et compatriotes ivoiriens qui croupissent dans les camps de concentration néo nazis du dictateur fasciste et despote Ouattara Dramane Alassane.

Un homme averti en vaut deux. Bien le bonsoir chez vous. Amougnan.

Jean Dékpai

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