Une attaque de la prison de Dabou déjouée en Côte-d’Ivoire

L’information est du journal Soir-Info qui cite des sources sécuritaires anonymes. La prison de la ville de Dabou, non loin d’Abidjan, aurait pu être la cible d’une attaque armée selon des informations fournies par un groupe d’hommes récemment neutralisés par les forces de l’ordre à Abidjan.

Soir info : «Selon des sources sécuritaires qui donnent des informations faisant état de mouvements de combattants mystérieux qui devraient mener des assauts sur des prisons civiles de certaines villes. Ces sources ont été confortées dans leur position à la suite de l’interception d’un véhicule portant les marques d’une unité d’intervention, le jeudi 31 août 2017, avec à son bord plusieurs individus armés. Ces « combattants », appartenant à une branche de ceux qui ont attaqué, en juillet 2017, l’École de Police, étaient en partance pour la ville de Dabou (27 km au sud-ouest d’Abidjan). »

Source: linfodrome.com

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13 réflexions au sujet de “Une attaque de la prison de Dabou déjouée en Côte-d’Ivoire”

  1. …et ce qui fait pitié, c’est de voir des savaneux déclarer que ce seraient des pro GBAGBO qui seraient à l’origine de ces attaques diverses …

    Humm.

    Yako à vous !!

  2. Ça rit jaune et ça ne mange plus de popcorns quand l’attaquette est déjoué ou quand les bhétés sont pris en flagrant délit d’attaque !!!

    Ça fait pitié…un match retour annoncé où l’adversaire bhétépack se cache depuis 2010 et fait des jets de maillots à partir des vestiaires !!!

    krrrr krrrr !!!

    té ande

  3. On le sait, on le sait, le charognard est si déçu de cet échec. Dommage pour la sorcière et charognard.

    Le sauvage bété des forêts habituel connait-il la definition de yako ?

    C’est plutôt au charognard qui attend l’apocalypse dans son trou de rat que l’on doit dire « Yako » ?

    Retourne vendre et revendre les terres de tes parents…

    S.A.U.V.A.G.E. !

  4. Le Bhetepack sauvage ne changera jamais Comme un bon quadrupède forestier poilu.
    On se réjouit des attaquettes Et on est en larme quand ils sont pris les mains dans le sac.Toute suite on s’auto-accuse comme quoi on en veut aux Gors (comprendre pro-GBAGBO aux visions apocalyptiques).

    Voulez-vous un « KOUDOU » (il s’agit d’une serviette de couleur variable accrochée au cou servant à éponger la sueur dégoulinante du Front et des aisselles aussi très utiles pour assécher les sécrétions provenant des entre-cuisses lors d’une galipette pendant des funérailles à FIGAYO.
    Cette serviette s’est avérée très efficace lors d’un bref passage d’un historien au golf à la fin de son pouvoir qui en a fait l’apologie) pour essuyer vos larmes de crocodile.
    À chacun sa lorgnette!!!

  5. En voyage d’affaires au Congo Brazzaville au milieu des années 2000, j’ai dû me rendre de Brazza à Pointe Noire rencontrer Kablan alors à la tête de Puma Energy. Déjà à Brazza, tout était importé du Cameroun, pays qui nourrissait le Congo (poulets, œufs, huile et même le manioc). A la question de savoir si on ne pouvait pas couvrir les 300 et quelques km entre les 2 villes par la route histoire de voir un peu du pays (les appareils des 3 compagnies locales d’aviation faisaient un peu peur), il m’a été répondu que c’était mission impossible : Brazza était pris dans un étau de rébellions armées et de coupeurs de route qui isolaient la capitale du reste du pays. Résultat : plus de plantation, les paysans ayant tous déserté la zone, plus d’échanges routiers, plus d’élevage de volaille, de caprins ou d’ovins, plus de fruits, plus de légumes, etc. Mais Sassou était po, et la vie en avion se passait des rebelles et bandes armées restées au sol.

    La dernière fois que je me suis rendu à Bouaké, la phobie des coupeurs de route m’a fait préférer l’avion. Alors, j’observe ces attaques en arc de cercle autour d’Abidjan, et mon impression est qu’il y a un schéma directeur, s’apparentant à ce qui était en place au Congo : isoler à terme Abidjan de l’arrière-pays. J’espère me tromper.

  6. @Coigny …

    En effet …

    Cette situation était pourtant prévisible.

    Le pouvoir OUATTARA a commis une erreur qui était de transformer la sécurité nationale en sécurité présidentielle, oeuvrant essentiellement à protéger le pouvoir et à le maintenir en place.

    De fait, il existe un contraste, voire un déséquilibre prononcé en ce qui concerne la sécurité de notre pays, avec des pôles extrêmement bien sécurisés et des régions, des villes laissées à l’abandon. C’est une situation qui avait tout autant prévalu sous GBAGBO LAURENT, mais qui était provoquée par la situation de guerre qui sévissait dans le pays, dans un cadre où le dispositif de défense d’état était très largement infiltré par les rebelles.

    OUATTARA n’a pas pu ou su normaliser la situation et a créé au contraire un déséquilibre dans l’armée nationale qui passe par des traitements différentiels (les rebelles promus et installés à des postes de commandements divers), des injustices (les gendarmes considérés comme pro GBAGBO, désarmés ou affectés en pagaille, ou encore des rétributions mal distribuées et causant de l’aigreur dans les rangs, entre ex rebelles), une mauvaise répartition de l’arsenal militaire, sinon une mauvaise utilisation de celui-ci (poudrières vides ici, poudrières clandestines ou cache d’armes non référencées par là, Hélicoptères de combat dont l’usage est essentiellement réservé à des mesures de protection présidentielle, etc.)

    De fait, de nombreuses villes et régions sont livrées à elles mêmes, et avec la prolifération des armes dans le pays (il n’y a jamais eu de désarmement, on sait bien pourquoi !!), celle de truands et de bandits de tout gabarit, en majorité ex rebelles, avec des gendarmeries et des postes de polices mal équipés, mal lotis, mal occupés, il était prévisible que nous en arrivions à cette situation délétère.

    Ce qui est le plus désolant, c’est de voir que de nombreux ivoiriens ont été si focalisés ces 20 dernières années sur les actions de déstabilisation d’état qu’ils ne savent point analyser les faits autrement que dans ce cadre là !! La conséquence est qu’ils se foutent complètement de l’état sécuritaire dans nos contrées, des « attaquettes » comme ils disent si bien, tant que ces attaques n’impacteront pas directement le pouvoir central et Abidjan, où ils vivent en prédation.

    Nous tombons petits a petit dans le piège sécuritaire que vivent les centrafricains au jour le jour, et que l’on aussi vu au Libéria ou au Congo Kinshasa, où le seul endroit où le président pourrait se sentir en sécurité reste et demeure la capitale. Des régions de non droit se sont constituées au fil du temps et cela commencé exactement comme ici en cote d’ivoire, avec des attaques sporadiques mais permanentes à l’intérieur du pays, attaques qui évitaient les capitales et qui ont abouti finalement à une véritable confiscation de contrées entières.

    Paradoxalement, ce pouvoir favorise la situation, car à chaque nouvelle attaque, il a pour reflexe de renforcer encore plus la sécurité autour de la capitale et donc du président, en faisant un appel de forces et de matériel, en intensifiant les contrôles nocturnes et aléatoires dans le district. Cela aura pour effet de réduire encore plus les mesures qui auraient pu sécuriser l’intérieur du pays.

    Et pour finir, la pauvreté et la vie dure, qui contraste avec ces déclarations perpétuelles de bien être économique, produites par le gouvernement, finiront par motiver les derniers truands, qui ont compris qu’il était possible de se réarmer en se servant dans les casernes et postes de polices, de piller quelques points où du cash pourrait se trouver, sans craindre l’arrivée de soutiens militaires dans la minute ou dans l’heure.

    C’est seulement quand des groupements essaieront de prendre possession de territoire que l’on sera en droit de s’inquiéter sérieusement, même si en l’état cela serait sans lendemain, vu la puissance de frappe et de réaction de l’armée ivoirienne (les fameux renforts d’Abidjan).

    Toujours est-il que tout a toujours un commencement et ce qui se fait dans le pays est à mon avis le début d’une ère de déstabilisation qui ne fera que forcir et grossir avec le temps.

    C’est essentiellement du banditisme, sans aucune valeur politique, même si certains ivoiriens s’en félicitent.

    Mais au final, ce sont tous les ivoiriens qui finiront par s’en plaindre.

    Rappelons ici que les seuls ivoiriens natifs d’Abidjan sont EBrié et consort.

    Les autres ont un village quelque part dans le pays (en principe !!) et s’y rendre en craignant les coupeurs de route n’est pas un plaisir !

    Je ne vous donnerai donc pas la date de la prochaine attaque. Elle est facile à deviner !!

  7. Même quand un aigri et un individu imbu de mauvaise foi congénitale s’essaie à la réflexion, sa nature vraie revient au galop et vite. Lisez ces âneries plus haut et riez-en de par sa puanteur.

    Ce myope bété sauvage fait une analyse dans le vide comme si la situation est juste apparue du jour au lendemain. VOICI LA RAISON QUE CET IDIOT OCCULTE. Pas surprenant d’ailleurs.

    SI GBAGBO AVAIT ABANDONNE LE POUVOIR SANS TRIMBALER LE PAYS DANS UNE GUERRE DEVASTATRICE NOUS N’EN SERIONS PAS LÀ. Qu’est-ce que vous croyez ? Les guerres portent des conséquences qui ne se règlent pas du jour au lendemain. Elles durent parfois des années. On ne sort pas d’une guerre comme on sort d’un match de basket ou de tennis. Oui, ce phénomène est déplorable mais si le pseudo-socialiste GBAGBO avait accepté un retrait sans violence, personne ne parlerait de phénomène de “microbes”.

    Alors, cet apprenti-sorcier plus haut, ce charognard qui prétend faire une analyse intelligente n’est en fait qu’un cancre dans ces délires et bla bla bla haineux et aigris habituels.

    Etrange avec la bhétépack, il ne réfléchisse pas plus loin que le bout de ne voit plus loin que le bout de leurs cils.

    Voici des individus qui en quittant le pouvoir font la politique de la terre brulée, le nouveau président qui avait un programme se trouve dans une situation où il faut reconstruite post-guerre à cause d’un individu violent sang chaud, aujourd’hui à la Haye. Qu’est-ce que vous croyez ? Les mêmes arguments que vous utilisez ici à profusion pour démontrer combien un certain SORO a déraillé la refondation, et bien ces mêmes arguments peuvent être employés et sont valides pour OUATTARA. La violence et la guerre menée par le FRONT après sa défaite a déraillé tout le programme de OUATTARA qui malgré tout cela fait le mieux qu’il peut. FERMEZ VOS GUEULES. SI VOUS AVEZ DES PROBLEMES ET UN MEILLEUR PROGRAMME POUR NOTRE PAYS, PRENEZ LE POUVOIR EN 2020 ET SORTEZ DE VOS « GRACE » MATINEES.
    OUI, 2020. On ne viendra défendre OUATTARA mais on saura appeler un chat un chat surtout quand des connards se croient des saints et victimes éternelles.

    Trop longtemps, des millions d’Ivoiriens dans l’ombre vous ont laissé déverser vos conneries sur ce site, ce qui vous a fait croire que vous avez l’apanage de la compréhension de notre situation politique et socio-économique. NON. Vous n’en avez même pas un dixième. Et il existe des millions d’Ivoiriens qui partagent comme @Peace101/011 qu’il est inconcevable que des individus qui disent aimer ce pays applaudissent de leurs 5 membres à chaque évasion, morts d’hommes, blocages de corridors, et courent acheter des popcorns pour baver de joie. Bande de sorcières et violents dans l’âme.

    La vérité sera dite, qu’elle vous déplaise ici ou ailleurs. Allons-y, allons-y seulement…La modération ici ne vous servira pas car les Ivoiriens ici et ailleurs la connaissent la vérité.

    Clique de cafards…

  8. Allez…Modérez-nous…Prenez votre temps. Cela vous ressemble et vous va si bien la bhétépack. La patience est votre ambroisie…Bande de rigolos…

  9. Les raisons de la situation actuelle, chacun les donne comme il le pense !!

    C’est aussi cela la liberté d’opinion !!

    Toujours est-il que le malheur des uns fait le bonheur des autres !!

    Popcorn par ici svp !!

  10. Oui, quand on crée ses propres malheurs, en effet, on aura que soi-même à blâmer. Personne n’est responsable des malheurs d’un parti d’aigris en déliquescence.

    Oui, les « raisons » de la situation actuelle, nous les connaissons tous, et le FRONT n’est certainement pas une victime. Libres à ses affidés de croire le contraire. Le pays avance et avancera.

    2020 C’est bientôt. Plutôt se préparer que de gueuler. Cela s’appellera être « smart ».

    Les petits cafards peuvent sortir les popcorns refroidis. Mais pas cette fois, l’attaque a été déjouée. Essayez encore…

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