Affaire banderole «Libérez Gbagbo!» 15 jours de prison pour le jeune Kouassi Richard

Arrêté le 11 novembre lors du match Côte d’Ivoire – Maroc puis déféré à la Maca (prison abidjanaise), Richard Kouassi a été condamné à 15 jours de prison ferme, ce lundi 20 novembre 2017, après-midi. C’est son avocat Rodrigue Dadjé qui donne l’information sur sa page Facebook.

Richard Kouassi qui a fait irruption sur l’aire de jeu avec une banderole portant les inscriptions « Libérez Gbagbo » était poursuivi pour trouble à l’ordre public. Il risquait jusqu’à six mois de prison mais la défense a pu incliner le juge à infliger une peine moindre. Selon Ange Rodrigue Dadjé ce n’est pas tant le port de la banderole au stade qui pose problème mais plutôt le fait de s’inviter sur l’aire de jeu en plein match.

Le procès de cet après-midi a mobilisé des pro-Gbagbo et des organisations de défense des prisonniers d’opinion dont l’Affdo-Ci de Désirée Douati.

SD à Abidjan

sdebailly@yahoo.fr

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19 réflexions au sujet de “Affaire banderole «Libérez Gbagbo!» 15 jours de prison pour le jeune Kouassi Richard”

  1. Est ce vraiment une telle condamnation valait une?!
    Il faut éviter de donner de l’importance aux faux martyres pour qui un séjour en prison améliorerait leur CV politique qui pourrait être monnayable plus tard.
    À chacun sa lorgnette !!!

  2. @quoi

    Je partage. J’émettais la même perception sur un article connexe. De surcroit, c’est une pub inutile pour gbagba, même si en ces temps qui courent il en a besoin depuis que le messager Méambly a arrêté de jouer au messager dans ses ballades européennes.

  3. Martyr !!!

    Le mot est lâché !!

    Merci pour la publicité gratuite !!

    Pop !!

  4. gbagba ? RIRESSSS…. Oui, agrippez vous à tout ce que vous pouvez trouver. Quand on est 5400 égarés eh beh 15 jours, on est libre de le voir ainsi…

    Courage….

  5. Bien fait pour sa gueule !!!……La prochaine fois il n’entrera pas sur une pelouse en plein match

  6. DE L’IMPASSE SPORTIVE OU POLITIQUE

    Les avis sont partagés et dans la faction, on milite ici pour la libération et là pour l’incarcération. Le crime de lèse majesté et entièrement consommé : oser remettre GBAGBO LAURENT au centre des idées et propos, au cours d’un match de football qui connaît la défaite de trop qui clos l’aventure ivoirienne pour la coupe du monde de 2018.

    Non, la Cote d’Ivoire n’y sera pas !! Le gouvernement était au gouvernail, tout l’étage de rattrapés était à l’œuvre avec le SIDI, qui aura choisi ces sélectionneurs fanfarons, avec le petit TOURE qui se sera essayé en tant que coach adjoint, avec toute la machine de propagande à l’œuvre, tout était prêt pour le tapage de poitrine traditionnel que l’on obtint jusqu’ici grâce aux armes.

    Non, le football, ce n’est pas la guerre. Les seules armes lourdes autorisées, ce sont les godasses, les tactiques de guerres deviennent des tactiques de jeu, les soldats au visage terreux, aux amulettes faites en phalanges de fœtus humains, sont remplacés ici par une brochettes de sportifs belliqueux, qui s’efforceront pendant 90 minutes à atteindre un objectif tellement simple : foutre le ballon rond dans les cages de l’adversaires, le plus de fois possible, tout en évitant que ce ballon ne caresse les filets propres.

    La défaite est consommée, le pays est éliminé, la déception est collective, peut-être, tout va mal, quand surgit de nulle part le petit bonhomme qui traverses le terrain, en courant, en ricanant, en haletant …

    « LIBERER GBAGBO » !! Le message est clair, cinglant, précis et puissant. Il est court et concis, et son impact est certain. Si l’on avait été dans l’euphorie de la victoire mandingue, peut-être que l’on n’y aurait pas prêté attention, mais là, c’est comme un coup de poing dans la figure, un coup de fouet douloureux.

    On retombe dans l’actualité, et on se rend compte que le sport n’est qu’un jeu, qu’il ne peut se suppléer aux réalités que nous partageons. Il aura peut-être le pouvoir de réduire les clivages le temps d’un ou de deux match, d’un tournoi éventuellement, mais il ne peut prétendre annuler, effacer, éliminer les tensions entre ivoiriens.

    Et au petit trublion, on se demande si on doit dire merci ou le fustiger. En effet, il aura le tact et le talent de nous ramener à la réalité, mais la « blague » est de fort mauvais gout, surtout en ce moment, surtout avec ce timing, surtout avec ce nom que de nombreux ivoiriens ont en horreur ou affectionnent, c’est selon : GBAGBO !!

    Toutes les valeurs sont indexées : la liberté d’opinion, la liberté d’expression, la liberté tout court, mais aussi l’excès de liberté !! Mais le délit subsiste, s’inviter pendant un match de football important sur la pelouse. Oser brandir le nom « GBAGBO » dans un contexte pareil, quand des millions de téléspectateurs sont devant leur écran de télévision.

    Oui, le petit a été bavard, trop bavard, extrêmement bavard. Et en une phrase injonctive, il a déballé suffisamment de verbe (1) et de propos (1) pour écoper d’une peine que l’on n’a pas osé administrer à des soldats mutins ayant mis la ville en danger et tué d’honnêtes civils. Une peine que l’on n’a pas osé administrer à certains chefs de guerre reconnus comme étant les patrons de microbes déjantés à ABOBO.

    Oui, le petit a trop parlé. Il a trop brillé. Il a exagéré !! Mais fallait-il en arriver à ce niveau. On osera parler de Martyr !! N’est ce pas exagéré et prématuré ? Et les yeux sont tournés tous vers ceux qui ont la main et qui utilisent la justice comme bon leur semble.

    Divisés, oui, ils sont. Libérez le petit !! Condamnez le !! Fessez le !! Elargissez le !! Les avis sont partagés, c’est un constat !! Mais au fond, il y a bien une ligne commune, une base commune de faction. Ceux qui ne veulent pas donner de poids à GBAGBO LAURENT préconisent la libération du petit. Ceux qui veulent punir ce crime de lèse majesté veulent la prison pour le petit. Dans tous les cas, ce sont des partisans du pouvoir qui rejettent cette image de GBAGBO LAURENT, qui jaillit à un moment aussi central, important, primordial et malheureux. Une présence de GBAGBO qui sonne comme une moquerie à l’endroit de tout un clan, défait et déçu …

    Mais alors là, une seule question me vient à l’esprit ?

    Si c’était un petit COULIBALY ou BAKAYOKO qui courrait sur le terrain avec une banderolle sur laquelle avait été écrit « ADO PUISSANCI », que se serait-il passé ???

    Je devine qu’il aurait écopé de la même peine, vu que ce serait interprété comme de la moquerie à l’endroit du régent, tant ce clan est susceptible en ce moment de défaite sportive …..

    OU bien ?

    C’est cela que l’on appelle la justice au demeurant ….

    Pop !!

  7. «LEBERER Richard Kouassi » …. pardon…  « LIBERER Richard Kouassi»

    Pardonnez, libérez le petit …il faut maintenir coûte que coûte le nombre à 5400 … !!!

    « Affaire banderole «Libérez Gbagbo!» 15 jours de prison pour le jeune Kouassi Richard »

    Hé monsieur le modérateur de Connectionivoirienne, il faut bien retranscrire fidèlement ce que le petit a écrit dêh sinon tu auras affaire à @poop-kala !!!

    té ande

  8. Imaginez un seul instant, dans les années 2002-2010, un quidam entrain de se pavaner au félicia avec un tee-shirt où, il serait mentionné: » Forces nouvelles ».
    Je vous assure, que ce que cet individu, plutôt que la prison, serait actuellement 7 pieds sous terre.
    On se connait en détail en RCI.

  9. Ce qui est dit est dit. Le cancre a écrit: « LIBERER GBAGBO » et non, « LIBEREZ GBAGBO ».
    Kia kia, kia, kia,. Comme le dit @ LAKOTA, un cancre reste un cancre.

  10. @GOZO ….

    Vous dites : « Imaginez un seul instant, dans les années 2002-2010, un quidam entrain de se pavaner au félicia avec un tee-shirt où, il serait mentionné: « Forces nouvelles ».
    Je vous assure, que ce que cet individu, plutôt que la prison, serait actuellement 7 pieds sous terre.
    On se connait en détail en RC »

    Conneries !!!

    Les forces nouvelles FAFN étaient des forces militaires inclues dans un conflit militaire armée et reconnue par la communauté internationale qui a appelé GBAGBO LAURENT à négocier avec elles.

    Elles faisaient parties de toutes les réunions dans le but de produire des accords ivoiriens.

    Leur responsable, SORO GUILLAUME, aura été intégré suite au dialogue direct au gouvernement au poste de premier ministre et sa garde étaient entièrement constituée de soldats FAFN logés à l’hôtel du Golf, portant les attributs de cette armée.

    La présence de forces nouvelles, en tenue militaire avec toutes les mentions brodées de fil d’or sur écusson « forces nouvelles » ou « FAFN », dans la zone gouvernementale n’était donc pas une rareté ou une incohérence, que ce soit aux réunions du gouvernement qu’au matchs officiels de football. Pourquoi donc s’en prendre à un jeune avec un T-shirt sur lequel serait inscrit forces nouvelles, si ce ne serait à cause d’un contexte particulier que vous refusez de préciser !!

    Par contre, si un jeune COULIBALY arborait au Félicia un T-shirt avec écrit dessus : « TIÉ GBAGBO-LÀ », il est évident qu’on lui aurait fait la peau, mais le contexte est ici de rigueur. Le pays était coupé en deux, les rebelles assassins au nord et la partie gouvernementale libre et hospitalière qui a recueilli tous les populations savaneuses de cette région qui fuyaient les rebelles et leur furie.

    2017 !! Nous sommes censé être en paix, la guerre est « finie » et comme le dit @MANTAPE, le pays est à 100% sous contrôle de l’état central et providentiel !! Le pays est dit démocratique et en pleine nouvelle république dont la Kongstitution protège le droit d’opinion et d’expression !! Pourquoi un T-shirt « LIBERER GBAGBO » vous fait-il autant peur ?

    Pour oser faire une comparaison en terme de liberté d’expression, il faut aussi tenir compte des contextes et des cadres !!

    Mais c’est un exercice difficile pour un certains @GOZO, qui est bien trop limité pour savoir et comprendre ce que pourrait être une phrase injonctive « basique » !!

    Dommage !!

    Pop !!

  11. ET À NOUVEAU, CELA RELANCE LA QUESTION DE LA JUSTICE À DEUX VITESSES.

    Ce n’est pas la 1ère fois dans ce pays qu’un supporter fait irruption sur la pelouse.La seule différence est que c’est l 1ère et la seule fois que l’un d’eux porte un message politique.Et comme par hasard, c’est la 1ère et la seule fois dans ce pays qu’on condamne pour cela dans ce pays.

    Curieux tout de même, cette coïncidence.

    Par ailleurs, on attend toujours la moindre inculpation pour les massacres du camp de réfugiés de nahibly !!!!!

    Il est curieux que tous ceux qui font leur profession de foi en ce qui concerne la CI comme pays de droit sous l’Empire du mandingue fasse preuve d’une rigueur aussi sélective.

    Non, arretez de faire injure à l’intelligence des gens. On peut dire que ce jeune homme a été condamné pour le message et non pour son intrusion sur la pelouse.

    Les faits et le contexte donnent toute l crédibilité à cette lecture.

  12. Un mois de prison pour l’orthographe et la conjugaison…
    Ou alors copier 5000 fois l’impératif de 50 verbes…voilà une bonne peine pour avoir interrompu un match et sali le message qu’il voulait faire passer (quoi qu’on en pense…)…

  13. @Philou …

    Revoyez vos leçons de français et aller directement dans PHRASE INJONCTIVE !!

    Vous allez apprendre de nouvelles choses.

    Pop !!

  14. @ pop
    Mon oeil.

    1) Le Soro Guillaume qui a échappé à un lynchage de la bethepack, n’était-il pas Ministre de la Communication de Koudou? Y ‘avait-il force nouvelle plus intégrée, qu’un Ministre? Mais ce Ministre intégré a échappé à un lynchage tout simplement.

    2) On a encore en mémoire, le comportement de sioux et de cheyennes, que les bethepacks ont eu à Babré (Gagnoa), lors de la traversée du cortège funéraire de feu Dr Dacoury Tabley.

    Les exemples d’intolérance de la bethepack foisonne à profusion. Alors, je le répète, un quidam au félicia dans les années 2002-2010, avec un tee shirt estampillé « force nouvelle », serait à 7 pieds sous terre depuis belle lurette.

    N’en déplaisent aux esprits chagrins.

  15. @GOZO …

    Vous dites : « Le Soro Guillaume qui a échappé à un lynchage de la bethepack, n’était-il pas Ministre de la Communication de Koudou? Y ‘avait-il force nouvelle plus intégrée, qu’un Ministre? Mais ce Ministre intégré a échappé à un lynchage tout simplement. »

    Comme toujours, vous occultez le contexte. Comment peut-on dans la zone sous contrôle rebelle procéder a divers crimes et délits, tout en se pavanant dans la zone gouvernemental sous l’étiquette de ministre de la communication !!

    Le courroux contre SORO est né d’un contexte et non de la qualité de ces hommes en zones gouvernementale. Et très rapidement, cette tension fut amoindrie et il faisait bon vivre en zone gouvernementale pour les forces rebelles, au nom de la paix et en mission ou dans le gouvernement, quand le nord ivoirien était réglementé et interdit aux soldats gouvernementaux, qui auraient été immédiatement exécutés, si pris !! Je rappelle que votre assertion serait que l’on lyncherait tout individu ayant sur son T-shirt FORCES NOUVELLES au félicia entre 2002 et 2010.

    Tout dépend du contexte.

    Vous dites : « On a encore en mémoire, le comportement de sioux et de cheyennes, que les bethepacks ont eu à Babré (Gagnoa), lors de la traversée du cortège funéraire de feu Dr Dacoury Tabley. »

    Ici encore, vous ignorez le contexte pour aller au faits divers. Le Dr Dacourey Tabley est issu d’une très large famille Bhétée qui compte de nombreux pro GBAGBO. Les siens n’ont pas encaissé le fait que lui, un Dacoury Tabley, choisisse de s’écarter de l’opinion familiale et régionale pro GBAGBO.

    Mais encore plus grave, c’est le fait que Dacourey ait participé activement dans les rangs des rebelles, en servant de médecin militaire lors d’un insurrection militaire qui aura fait des morts, mais maitrisée finalement. Cela ne lui a pas été pardonné et c’est aussi ce qui explique les péripéties autour de ses funérailles.

    Alors oui, on ne voit pas du tout le lien avec une liberté d’opinion étouffée, qui conduirait à la mort de celui qui porte le message sur son T-shirt, en plein Felicia !!

    Si votre objectif est de recenser ici tous les évènements qui ont conduit en zone gouvernementale à des péripéties diverses (et on est encore ici bien loin des sept pieds sous terres !! Je m’attendais à des exemples plus dramatiques, mais bon, ils sont rares dans vos rangs), alors ce site ne suffira par pour accueillir tous vos griefs !!

    Par contre, si vous voulez que je vous cites les exemples d’exécution qui ont eu lieu en zone gouvernementale sur des personnes qui ont considérés comme appartenant aux forces gouvernementales ou qui serait taxées de pro GBAGBO, alors là, le cadre de ce site ne suffira surement pas pour mener cet exercice !!

    Avant donc de produire votre assertion, il fallait juste un peu réfléchir pour savoir si de 2002 à 2010, il y avait en zone gouvernemental l’inexistence de ce que vous osez fustiger : la mort provoqué à cause de l’étiquette !!

    Je resitue donc le contexte :

    Nous sommes en 2017 !
    La guerre est finie !
    Nous sommes une « démocratie » !!
    La liberté de parole et d’expression est protégée par la constitution !!

    Vous osez la comparaison ave un moment non comparable, qui selon moi a vu un excès de tolérance envers des « forces nouvelles » seulement parce que l’autorité, GBAGBO LAURENT, aura tout fait pour que l’on ne tombe dans le piège de la guerre civile, ce qui n’était pas le cas des forces nouvelles !!

    Et vous vous en amusez ??

    Tchrrrrr…..

    Pop !!

  16. Ayawéééé, Dr Dacoury Benoit que je connais très très bien fut Médecin de Gbagbo, pendant les périodes chaudes qu’a connu le FPI . D Dacoury a toujours exercé à Abidjan, dans son cabinet. Il n’avait pour arme que son stéthoscope et sa blouse. Alors dis-moi, @ Pop, quand est ce que Dr Dacoury est-il devenu rebelle?
    Ses seuls torts, à vrai dire, c’est qu’il était le frère du Ministre Dacoury et que son épouse était d’origine burkinabée.
    Dans ts les cas, ces exemples démontrent tout simplemnt, l’INTOLERANCE, qui caractérise le FPI.

  17. @gozo ….

    Je reconnais ici une erreur, car j’ai confondu ce cas avec un autre médecin qui a été tué lors d’une insurrection sur la ville d’Abidjan, à un moment où il prodiguait des soins à des soldats armés (je me renseigne !!).

    Concernant le cas DACOURY BENOIT, que je connais tout autant, il faut revenir en 2002.

    Le coup d’Etat fait plus de 300 morts en moins de 3 heures dans la capitale, une attaque menée nuitamment qui a vu la mort d’hommes politiciens d’envergure et de civil innocents.

    Imaginez vous donc ici 300 cadavres les uns à coté des autres !! On appelle cela des meurtres (si vous ne le savez pas !!)

    Les rebelles sont repoussés vers l’intérieur du pays et se cristallisent sur la ville de BOUAKE. Ces dissidents deviennent des rebelles et aussitôt, des personnes revendiquent le coup d’état, mais aussi la rébellion.

    Parmi ces gens, on comptera SORO, mais aussi un certain LOUIS DACOURY TABLEY.

    C’est le choc parmi les pro GBAGBO, car cet homme a été très proche de GBAGBO LAURENT pendant longtemps.

    Vu le soin apporté à la préparation du coup, vu le soutien militaire affiché, on notera ici la préméditation et la préparation du coup, et donc la traîtrise affiché envers une faction qui ne s’attendait pas du tout à un coup d’état, traitrise affichée par un DACOURY qui encore début 2002 était reçu par GBAGBO LAURENT dans sa maison familiale à MAMA, en aparté !! .

    Le Dr DACOURY BENOIT sera retrouvé mort après avoir été enlevé par des hommes armés non identifiés. Sa mort a été très rapidement politisée, et mis à l’actif du pouvoir GBAGBO, qui n’aura jamais pu se départir de cette attaque, qui a alimenté les moulins médiatique et de propagande des pro OUATTARA pendant des années et des années. Et même au pouvoir en ces jours, le cas DACOURY BENOIT a été mis aux oubliettes par ce pouvoir incapable de prouver quoi que ce soit dans cette affaire.

    Alors oui, vous avez beau jeu en déclarant que ce qui l’aurait perdu serait l’intolérance et le fait ce que médecin aurait eu une femme d’origine Burkinabé.

    Il s’agit donc ici de vos opinons et de la version (à prouver) que vous voulez donner de cette situation.

    Mais entre nous, dites moi combien de pro GBAGBO issus du grand nord sont revenus dans leur familles d’origines après avoir été chassés ? Pouvez vous me citer des cas de familles dans la régions du nord ivoiriens qui proclament ouvertement qu’elles seraient pro GBAGBO ?

    Non mon ami, ce qui caractérise le RDR, c’est bien le manque de tolérance et surtout l’interdiction formelle de se tourner vers GBAGBO LAURENT et de crier GBAGBO KAFISSA.

    C’est ce qui aura fait de votre parti politique un parti composé à 99,99% de ressortissants du nord ivoirien, quand le FPI aura brassé large à travers toutes les ethnies ivoiriennes !

    Vous osez parler de tolérance ??

    Le cas DACOURY aurait pu être une exemple d’intolérance, certes, étant RDR et parler du FPI comme un parti intolérant, c’est une grosse conneries à laquelle vous même vous ne croyez pas, j’espère ?????

    En parlant du Dr. DAKOURY, vous auriez pu marquer des points !!

    Mais en parlant du FPI et en l’accusant d’intolérance, alors là vous avez tout gâté !!

    Quand on possède un argument solide, on ne le détruit pas en y adjoignant un argument qui pourrait lui porter préjudice et tout faire capoter !!

    Prenez des cours de rhétorique !!

    Pop !!

  18. @ pop
    Fais toi plaisir, en croyant que ce que tu distilles à longueur de journées à valeur de VERITE, pour toi et tous ceux qui te ressemblent. Tu n’as JAMAIS RIEN prouvé sur ce site.

    Quand à @ GOZO, il considère tout cela comme tout simplement du verbiage creux.
    1) Si ce n’est pas les FDS qui ont tué Dacoury, comment expliquer le comportement de la population de Babré, lors de la traversée du cortège funèbre? Je sais de quoi, je parle.

    2) Je t’apprends par ailleurs, que c’est la famille Dacoury, qui recevait Gbagbo à Kpapékou comme un fils, et non le contraire. Le père Koudou était garde municipale du cimetière de Gagnoa, lorsque le père Dacoury était un richissime homme. J’espère que tu comprendras, que j’en sais plus que tu ne crois.

    3) L’intolérance vous colle à la peau. Demande tout simplement à Gossio, qui t’en dira plus, avec ce qu’il a vécu lors des funérailles du député DEHOU.

    Je me répète: ce jeune homme que j’appelle désormais « Mr libérer Gbagbo » serait passé de vie à trépas, sous Gbagbabo, s’il arborait un tee shirt estampillé « Forces Nouvelles ».

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