Insertion des jeunes et distribution de vivriers Banzio investit 20 milliards

L’atelier de validationi des études sur les projets d’insertion des jeunes dans le commerce et l’appui à la distribution des produits vivriers’’ a clos ses portes le vendredi 8 juin. Ouvert un jour plus tôt, cet atelier avait pour objet l’étude d’un cabinet privé débutée depuis le 27 février 2012. Au terme des deux jours de concertation, le projet ‘’insertion des jeunes dans la petite restauration’’, d’une valeur de 600 millions FCFA et qui concerne 600 personnes a été validé par la création de complexes multi filières de restauration. Avec toutefois quelques recommandations comme l’engagement personnel et la motivation des bénéficiaires sans oublier les impératifs liés à la sécurité sanitaire. De même que ‘’l’insertion des jeunes dans la distribution de produits de grande consommation’’, d’une valeur de 5,3 milliards FCFA concernant 1600 personnes. A ce niveau, c’est la création d’un réseau de distribution intégré qui a été retenu sur la base de la motivation et la vocation des bénéficiaires dans la mise en œuvre du 20 milliard projet par des garanties bancaires (aval à hauteur de 10% du stock). L’âge doit être compris entre 21 et 40 ans avec un niveau d’étude de la classe de 3è. Et enfin «l’appui à la distribution des produits vivriers» qui revient à 17 milliards FCFA. Le recrutement n’a pas encore été estimé, que ce soit dans le transport comme, dans la manutention. Cependant il a été recommandé de réaliser une étude ‘’emballage et conditionnement’’ des produits vivriers pour la dé- marche qualité, identifier toutes les voies d’accès impraticables des zones de production pour une réhabilitation et en créer de nouvelles. La prochaine étape reste la communication en conseil des ministres avant la mise en œuvre prévue pour septembre 2012, selon le ministre du Commerce. Pour Dagobert Banzio, présent à l’ouverture comme à la clôture de l’atelier, tous ces projets ont un lien clair, ‘’la lutte contre la vie chère’’, en agissant sur de nombreux instruments. Banzio a argué que dans une économie libérale, il y a des limites.

L’Intelligent d’Abidjan
FO

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