Le FPI exhorte le gouvernement à sécuriser la population

Le FPI par la voix de son Secrétaire général, Dr. Kodjo Richard,réclame la sécurité des Ivoiriens au gouvernement. (Ph. DR)
Si le gouvernement du Président Ouattara n’arrive pas à « procurer la santé économique à laquelle les populations ont légitimement droit », estime le Front Populaire Ivoirien (FPI), il doit néanmoins veiller à ce qu’elles soient en sécurité.

Si le gouvernement du Président Ouattara n’arrive pas à « procurer la santé économique à laquelle les populations ont légitimement droit », estime le Front Populaire Ivoirien (FPI), il doit néanmoins veiller à ce qu’elles soient en sécurité. C’est ce que dit le communiqué du parti signé de son Secrétaire général et porte-parole Dr. Kodjo Richard, dont nous avons reçu copie, le mardi 16 octobre 2012.

Cette déclaration fait suite aux récentes attaques de début de semaine contre les Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) à Bonoua et la centrale thermique d’Azito à Yopougon. La Direction parti de Laurent Gbagbo a donc « exhorté le gouvernement à prendre toutes les mesures nécessaires, afin de garantir la sécurité des biens et des personnes vivant en Côte d’Ivoire ». Car selon elle, « c’est un minimum que notre pays attend depuis le 11 avril 2011 ».

En effet, par le canal de Dr KODJO Richard, la Direction du bateau bleu rose, couleurs du parti, a dit être « profondément choquée et indignée par ces attaques armées à répétition ». Elle a condamné avec « la plus grande fermeté cette autre vague de violence qui en ajoute au climat d’insécurité généralisée qu’elle n’a eu de cesse de dénoncer depuis 2011 ».

Dans son adresse, Kodjo Richard a rappelé tous les assauts qu’ont essuyés les FRCI depuis la veille de la commémoration de l’indépendance, en août dernier, notamment les attaques du commissariat de Yopougon et du 1er Bataillon d’Infanterie d’Akouédo qui ont fait au total 12 morts, plusieurs blessés et d’importants dégâts matériels, selon le ministère de la Défense, sans omettre ceux de Noé, à quelques kilomètres de la frontière entre le Ghana et la Côte d’Ivoire.

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