Affaire Gbagbo et Ouattara se parlent Quand la titrologie des lecteurs panique les rédactions des journaux dits bleu, et plusieurs des pro-Gbagbo.
Cet article ci-dessous est l’un de ceux ayant déclenché le tir groupe des journaux dits bleus contre l’Intelligent d’Abidjan ce Samedi 26 Janvier . Une atteinte délibérée a la confraternité et un role de répondeur automatique, par lequel ils prétendent avoir fait parler un conseiller de Laurent Gbagbo, sans dévoiler son identité tout en récusant notre source, comme s’ils etaient les seuls habilités a parler du FPI et de Laurent Gbagbo, nous livrons l’article qui a permis de faire cette accroche a la « Une » de l’IA de Vendredi 25 Janvier 2013. L’Intelligent d’Abidjan, le quotidien dont vous avez reve!
« Dialogue républicain Le « vivre ensemble » désormais irréversible OUATTARA ET GBAGBO SE PARLENT ENFIN:VOICI COMMENT
LE DIALOGUE INDIRECT Ouattara- Gbagbo est en fait un dialogue très direct. Alassane Ouattara est détenteur exclusif du pouvoir Exécutif et a don- né sa bénédiction et sa caution au Premier ministre Daniel Kablan Duncan, au ministre d’Etat Hamed Bakayoko et à tout le gouvernement pour échanger avec le FPI d’une part, d’autre part, Miaka Oureto et ses camarades dirigeants du FPI ont eu la bénédiction de leur président-fondateur,dans le cadre du dialogue républicain. Par ces structures interposées,le Président de la Ré- publique et l’ex-président Laurent Gbagbo se parlent et sont prêts à se comprendre pour l’intérêt de la Côte d’Ivoire. Sans conditions, sans préalables.«Nous avons besoin de l’op- position dans le jeu démocratique, l’opposition a aussi besoin de pouvoir s’exprimer,de pouvoir poser des problèmes. Nous travaillons, cela mettra peut-être du temps. Nous espérons aller très vite, mais nous pensons pouvoir trouver une plateforme minimale d’accord sur les grandes questions», a souhaité Hamed Bakayoko,au sortir d’une réunion, le mercredi 23 janvier 2013, avec une délégation du FPI forte de 15 personnes conduite par le président par intérim, Miaka Oureto Sylvain. A terme, chacun y gagnera son compte. On aura des munici- pales ouvertes, puisqu’elles n’auront plus lieu le 24 février2013,et une lec- ture de la réalité électorale, à mi-par- cours. Le Président Alassane Ouatta- ra et les Ivoiriens auront la paix, les exilés pourront rentrer,des prisonniers seront encore libérés, l’Etat de droit et la réconciliation seront en marche. Il ne restera que le cas Laurent Gbagbo et peut-être Simone Gbagbo.Mais,si tout ce tableau est acquis, comment pen- ser qu’une solution ne sera pas trou- vée ? Même si La Haye ne répond pas du gouvernement ivoirien, cette justi- ce internationale et indépendante restera-t-elle insensible aux évolutions politiques et au jugement d’opportunité, tenant compte du contexte comme toute Justice. La libération de huit pro-Gbagbo, le 21décembre 2012, le dégel par la suite des avoirs de 79 autres proches de l’ex-président ivoirien, constituent des avancées notables dans le processus de réconciliation et pèsent dans la balance de la décrispation de la vie politique en Côte d’Ivoire. A travers le Gouvernement d’un et le FPI, de l’autre, Ouattara et Gbagbo ont recommencé à se parler. Une bonne nouvelle qui ne doit pas empêcher la vigilance contre les extrémistes et les partisans de la violence.
Charles Kouassi, in l’IA du Vendredi 25 Janvier 2013″
Commentaire
Quand on a lu un tel article, on ne convoque pas un conseiller imaginaire et anonyme de Laurent Gbagbo pour démentir que Ouattara et Gbagbo ne se sont pas parle depuis le 11 Avril 2011. Avoir assimile le FPI a Gbagbo et le gouvernement a Ouattara est-il leger? Quand le porte parole du gouvernement parle,ou quand simplement un ministre parle on dit souvent que c’est Ouattara. A plusieurs reprises,les interventions de Katinan Kone ont donne des titres clairs comme GBAGBO PARLE de la part des bleu. Alors ou est le crime, ou est la légèreté ? Si Katina Kone peut donner du Gbagbo parle, pourquoi les actes du FPI ne peuvent donner :Gbagbo agit, Gbagbo( le FPI) en action. Retenons bien ceci: aucune mauvaise information n’a ete donnée. Nous n’avons fait cas d’aucun dialogue téléphonique, ni d’envoi d’émissaires secrets. Pour l’instant. Nous n’avons fait que livrer un commentaire et une lecture de l’actualité. Au lieu par exemple de nous démontrer l’autonomie du FPI et d’indiquer que le parti ne reçoit pas d’instructions ,ni aucun avis de Laurent Gbagbo, c’est un conseiller anonyme,comme notre informateur visiteur Gbagbo a la Haye,qui répond. Allez-y comprendre quelque chose! Le comble c’est que parmi les journaux ayant ecrit contre l’IA, il se trouve un quotidien, qui a prétendu sans remords il ya quelques jours que le President Ouattara a rencontre Ble Goude des son retour au pays. La liste des manquements déontologiques des journaux bleu sous couverts de soutien a une cause politique est bien longue. En tout cas, l’IA est prêt a faire ce débat avec les confrères . Nous parlerons plus tard des autres griefs des confrères bleus et de l’officine qui oriente leurs articles. Comme si l’IA savait il a publie des articles sur un deal avec Ble Goude,a savoir une interview exclusive devant paraître le lendemain de son arrestation. Une interview a la demande de Charles Ble Goude, qui répondait aux questions avec Richard Dakoury, lorsque quelques heures plus tard , il a ete arrêté et extradé dans son pays.
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