Claude Koudou s’insurge contre une campagne d’intoxication et de désinformation

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Communiqué du CDR-CI suite à la campagne gratuite d’intoxication et de désinformation

Nous rappelons au public que le CDR-CI (Conseil pour la Restauration de la démocratie et la défense des droits de l’homme) est une organisation de la société civile qui regroupe des associations et partis politiques ; lesquels sont les seuls à pouvoir parler de ses activités. C’est également le lieu de dire que le CDR-CI a adressé officiellement, le 11 septembre 2013 une lettre à la direction du Front populaire ivoirien pour l’informer de sa création et de sa volonté de se mettre à disposition pour trouver une passerelle qui permettrait de mutualiser les expériences et de travailler ensemble en bonne intelligence.
Par ailleurs, s’il est vrai que le Front populaire ivoirien est un Parti politique qui aspire donc naturellement au pouvoir d’Etat, il est également judicieux de retenir qu’aucune structure quoiqu’elle soit politique n’a le monopole ou l’exclusivité de cultiver des démarches, à même de contribuer à sortir les Ivoiriens des difficultés qu’ils vivent.

Nous avons lu sur facebook :  » POURQUOI IL NE FALLAIT PAS CROIRE A L’ESBROUFE DU CDRCI : « ILS DISENT ETRE UNE ALTERNATIVE AU FPI ET DECLARENT AVOIR EU DES CONTACTS AVEC L’UMP, LE PS ETC….. » source anonyme d’une personne très choquée au sortir de leur réunion de ce soir vendredi 27 décembre 2013. Dieu bénisse le président Laurent GBAGBO et l’Afrique !  » Le CDR-CI ne se reconnaît nullement pas dans de tels propos.

Rencontrer des personnalités, chancelleries et/ou institutions n’est pas une démarche nouvelle et donc exceptionnelle en soi. Nous l’avons beaucoup fait dans le cadre de la représentation du Porte-parolat du Président Laurent Gbagbo. Le CDR-CI étant une structure plus élargie, nous avons pensé qu’il convenait de porter certaines informations à la connaissance des responsables de mouvements respectifs. Le CDR-CI a informé en interne le FPI des différentes démarches et par la même occasion, a mis à la disposition de ce Parti, le mémorandum qui est notre support de travail à l’adresse des différents interlocuteurs, lors des différentes audiences qui vont d’ailleurs se poursuivre.

Comme suite à la campagne de désinformation et d’intoxication dont fait l’objet le CDR-CI, sans vouloir entrer dans une polémique stérile, nous voulons vivement regretter ici, que les mêmes qui, hier avaient écrit des insanités sur les réseaux sociaux et s’étaient livrés au dénigrement, pour nous détourner de l’organisation des Etats généraux, persistent dans leur dessein malsain de diviser les acteurs de la lutte. Cette volonté systématique de nuire sans proposer des projets alternatifs est indigne de combattants de la liberté. Nous déplorons le manque de cohérence et de sens des responsabilités de personnes qui rabaissent la lutte. Il faut rappeler qu’aux Etats généraux du 30 mars 2013, à l’occasion de la capitalisation de la dynamique qu’elle a cultivée durant de longs mois, la Diaspora a été soutenue par l’essentiel des forces de la gauche ivoirienne. La structure qui en est sortie, le CDR-CI a donc toute la légitimité pour prolonger son travail que différends observateurs ont voulu dans l’unité.

Laurent Gbagbo s’inscrit dans un processus de paix et de réconciliation. C’est cette voie qu’il faut porter en des lieux où cela doit être entendu et/ou dans des pôles de décision. L’occasion des rencontres – évoquées avec des institutions et autorités politiques – permet d’exposer sur le vécu des Ivoiriens, sur le mode de gouvernance réel du pouvoir actuel, sur son manque de volonté d’aller à une paix viable, et de faire des propositions qui restent des prolongements des revendications portées par des alliés politiques. Nous devons continuer à porter la vraie image du Président Gbagbo au contraire de ce qui a été véhiculé pour le renverser.

Que ceux qui disaient hier ne pas être les commerciaux du FPI, fasse l’économie d’en être les griots aujourd’hui. Le CDR-CI en appelle à la vigilance de tous pour qu’ils ne soient pas distraits et détournés des vraies préoccupations des Ivoiriens, qui consistent à voir Laurent Gbagbo recouvrer la liberté pour aller à la paix. Nous estimons que ceux qui font du nombrilisme n’ont non seulement pas compris ce qui arrive à la Côte d’Ivoire mais aussi souhaitent le prolongement des souffrances des populations, pour pérenniser leur motif d’existence. La culture des velléités tant existentielles que narcissiques sera vaine. Chacun doit agir, dans le cadre d’une division du travail au niveau qui est compatible avec ses qualités et ses compétences. Dans la nouvelle Côte d’Ivoire qui doit se dessiner, le clientélisme, les rumeurs, le copinage et la délation ne doivent plus constituer les bases de promotion. Mais comme dans les pays qui émergent, c’est la compétence et/ou le savoir-faire qui doivent être retenus.

Enfin, le CDR-CI informe qu’il se réserve le droit de donner sa position sur les sujets de société qui concerne les Ivoiriens et n’a pas l’intention de laisser des situations arriver à des stades de pourrissement comme ce fut le cas hier.

Pour le CDR-CI, le Porte-parole

Dr Claude Koudou
MOSOURPA (Marseille) ; CRI-PANAFRICAIN ; Plate-forme panafricaine (PSP) ; CPAD-France ; CDDS (Conseil pour la Défense de la Démocratie et de la Souveraineté) ; UNG (Union des Nouvelles Générations) ; CRD ; MIR ; COJEP ; Parlement et AGORA (Lyon) ; CFCIA ; Go Africa ; Mouvements des Artistes ; GBAGBO FREE ; CODESCI ; Halte aux Génocides ; 3000 Femmes ;

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