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L’élimination précoce des Eléphants de Côte d’Ivoire du mondial au Brésil continue de faire couler beaucoup d’encre, en dépit de la démission très attendue de Sabri Lamouchi. Chacun le sait, les Ivoiriens conduits par leur capitaine en chef, le Président Alassane Ouattara, ont été très affectés par la sortie prématurée des Eléphants, d’autant plus que de gros moyens ont été dégagés par l’Etat.
Sidy Diallo, Malick Toé et la bande de copains de la maison de verre de Treichville ont fini par convaincre même leurs ardents défenseurs, qu’ils manquent de responsabilité.
Depuis son élection, le président de la Fédération ivoirienne de football (FIF) n’en ferait qu’à sa tête, du fait de sa filiation. Preuves de ce manque d’humilité, le surprenant recrutement de ce stagiaire de Lamouchi (ainsi que son maintien à la tête de la sélection, en dépit des résultats mitigés) et la gestion des fonds de la FIF.
L’on peut le dire sans risque de se tromper et surtout au vu de la levée unanime de boucliers après la débâcle des Eléphants : Sidy Diallo a réussi la prouesse de réconcilier les Ivoiriens car pro-Gbagbo , pro-Ouattara sont aujourd’hui unanimes pour la démission de cet homme.
Samuel Taï
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