Soro annoncé le 1er janvier à Bouaké « pour fêter avec ses parents »

En reconnaissance aux populations de la capitale de Gbêkê qui l’ont soutenu durant toute une décennie de crise, le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, a décidé de communier avec ses parents de Bouaké le 1er janvier de chaque année.

Pour l’année 2018 qui vient, il a décidé d’être aux côtés des siens conformément à cette promesse, pour traduire une fois de plus son attachement non seulement à la ville mais également aux populations de la seconde ville du pays. L’annonce de son arrivée a été faite le 26 décembre 2017 par deux de ses collaborateurs, Issa Doumbia et Idrissa Maïga, lors d’un repas offert, de sa part, aux populations, chefs de communauté et chefs traditionnels de Bouaké.

Selon le porte-parole de ses émissaires, Guillaume Soro sera présent le « 1er janvier 2018 à Bouaké pour fêter avec ses parents ». Mais surtout pour leur dire merci de leur soutien à son égard.
Par ailleurs, il assistera en personne à un concert musical qu’il offre aux populations de façon gratuite le 2 janvier à la place du boulevard du palais du carnaval.

Ouana Lagnon

Lebanco.net

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2 réflexions au sujet de “Soro annoncé le 1er janvier à Bouaké « pour fêter avec ses parents »”

  1. « En reconnaissance aux populations de la capitale de Gbêkê qui l’ont [SOUTENU] durant toute une [DECENNIE] de crise, le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, a décidé de communier avec ses parents de Bouaké le 1er janvier de chaque année.”

    Ah, bon ! Les populations de la capitale du Gbêkê ont SOUTENU Soro. N’est-ce-pas une gifle cinglante aux charlatans « grâce » matineuses du FPI ? Ces populations auraient donc été de connivence, donc des “traitres” pour le régime abominable du FPI.

    Selon la lorgnette de la logique donc, peut-on appeler une “rébellion” soutenue par le Peuple, une rébellion ? Je dis non. Ou tout au moins, les VRAIS REBELLES et USURPATEURS (grâce à Guéi) étaient ceux-là, ces arrogants et violents sang chaud chaud, qui étaient au palais d’Abidjan. Une rébellion n’en est plus une dès que le Peuple le soutient. C’était donc un acte salutaire pour la libération d’un Peuple.

    Réflexion, réflexion… Qui était donc les vrais rebelles en CIV ? Soro ou gbagba ?

    Nous on observe so-le-ment…

    Shhhhhttttt… On avance, 2018 et 2020 approchent…

  2. Une « rébellion » soutenue par le Peuple n’en est pas une. Elle est une REVOLUTION. Ainsi donc, il faut requalifier Soro. C’était un REVOLUTIONNAIRE, pas un REBELLE. Sacré Soro, le révolutionnaire…

    (Dans tous les cas, la bhétépack l’a si bien compris que de nos jours elle t’a absous de toutes tes supposés crimes même dans les tueries supposées de leurs parents a l’Ouest).

    Shhhhtttt…. La vérité ne casse rien !

    Nous on observe so-le-ment…

    Comprenne qui pourra !

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