Côte-d’Ivoire: Les discours variables de Ouattara qui cachent mal son intention de briguer un 3e mandat

Connectionivoirienne | Par Hervé Coulibaly

Dans un entretien paru dans l’édition n°2995 de Jeune Afrique, Alassane Dramane Ouattara (ADO) envisageait la possibilité d’effectuer au moins un troisième mandat.

«La nouvelle Constitution m’autorise à faire deux mandats à partir de 2020. Je ne prendrai ma décision définitive qu’à ce moment-là, en fonction de la situation de la Côte d’Ivoire. La stabilité et la paix passent avant tout, y compris avant mes principes », déclarait-il dans les colonnes de Jeune-Afrique.

Hier au lancement du parti unifié RHDP, Ouattara a tenu un autre discours. Il évoque un transfert de pouvoir à une nouvelle génération, tout en acceptant au passage, la présidence du nouveau parti unifié.

«Nous devons travailler ensemble dans la paix et la cohésion pour transférer le pouvoir à une nouvelle génération en 2020. Nous devons travailler le président BEDIE et moi pour transférer le pouvoir à une nouvelle génération ».

Alors que de nombreux observateurs voient une candidature de Bédié en 2020 pour le compte du PDCI-RDA, le parti de Outtara, le RDR, ne lui a toujours pas trouvé un successeur clair. Un temps présenté comme le dauphin du RDR, Hamed Bakayoko doit désormais faire avec la concurrence de Gon Coulibaly depuis sa nomination au poste de Premier ministre. Les deux ambitieux du RDR ont aussi Soro Guillaume en face d’eux, en embuscade.

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10 réflexions au sujet de “Côte-d’Ivoire: Les discours variables de Ouattara qui cachent mal son intention de briguer un 3e mandat”

  1. Il est clair que les spin doctors de Ouattara ayant mesuré le risque que sa candidature ferait peser sur le pays et sur sa propre personne, l’ont décidé à renoncer : rejet même au sein de son parti, par l’establishment musulman, et par les partis à côté ou en face, bref une quasi unanimité nationale sur la question. A mon avis, il doit regretter de l’avoir laissé entrevoir trop tôt, mais celui qu’il faut pour une fois remercier sur cette question s’appelle Bédié : si le sphinx de Daoukro avait marché dans la combine et le piège tendu, nul doute que le plan de confiscation du pouvoir par Ouattara aurait fonctionné, mais il est obligé de constater qu’au bout du chemin, l’attend la honte s’il persiste.

    Ses options ? Soit reculer pour mieux sauter dans l’espoir d’une recomposition favorable pour son projet, soit être emmené à discuter franchement d’une succession garantissant la sauvegarde des intérêts d’abord personnels, puis familiaux, claniques, et politiques. En définitive, il a plus que jamais besoin du PDCI dans un schéma négocié, l’ensemble des observateurs voyant clairement un retour au pouvoir de ce parti en 2020, retour que ne peuvent empêcher Soro, Bakayoko, et encore moins Gon. Si on m’avait prédit qu’un jour je dirais « Merci Bédié… »

  2. ha! les amis gauchers grand analystes politique derrière leurs claviers.
    ils sont même convaincus de n’avoir jamais imaginé dire un jour merci Bédié !ou merci tout court même !
    bien qu’ils soient tous au lit sur ordre du poussiéreux sanga-la-rose, Ils sont prompt à donner des taux de participation ici et là !
    en voici un autre, bien ancré dans cette tradition.
    Ouattara vomi en face, à côté, derrière,dans son village et même dans sa maison !!!
    ne reste plus que sa chambre à coucher.pourvu qu’il n’y soit pas déjà vomi par la population de sa chambre dans l’imaginaire de notre ami gaucher.
    bon courage l’ami.si celà peut favoriser un bon sommeil. ce cauchemar qui dure depuis sept ans est trop dur à supporter.
    beloo !

  3. non l’ami c’est pas poisson vit dans l’eau mais c’est plutôt oiseau vit dans les nuages !
    GOR vit de rêve !
    beloo !

  4. M. Ouattara ne veut plus être candidat ça c’est une certitude cependant il doit faire l’objet de fortes pressions de gens ou de groupes dont les intérêts seront en danger avec son départ; d’où ce discours qui sème le doute dans l’esprit des uns et des autres surtout ses adversaires pour qui il demeure un calvaire car indéboulonnable. Ouattara s’en ira comme il est arrivé dans la politique mais je ne pense pas que ce soit par crainte de ses adversaires qu’il aura au passage dompté à sa guise. Toutefois les connaissant, je ne serai pas surpris de les entendre dire que c’est à cause de leur menace que M. Ouattara aurait renoncé à solliciter un 3eme mandat.

  5. « discuter franchement d’une succession garantissant la sauvegarde des intérêts »
    Huuuum digne d’un MAMAWOOD quelque part vers l’ouest où vivent des paresseux alités depuis 7 ans scrutant l’horizon à la recherche de l’apocalypse.

    Diantre comment comprendre qu’une course à la présidence qui est dévolue aux choix du citoyen que tout à coups brusquement dans l’esprit fétide de certains nostalgiques fornicateurs des deniers publiques ont cette maladresse maléfique de parler de succession présidentielle que d’élection présidentielle.
    A moins que la messe soit dite,la tête baissée les mains entre les cuisses marchant à pas lent traînant leur fameuse natte de dortoir,savent déjà ce que leur réserve 2020( yako!!!).

    À chacun sa lorgnette !!!

  6. « Diantre comment comprendre qu’une course à la présidence qui est dévolue aux choix du citoyen que tout à coups brusquement dans l’esprit fétide de certains nostalgiques fornicateurs des deniers publiques ont cette maladresse maléfique de parler de succession présidentielle que d’élection présidentielle. »

    Ici, on voit que le patient se permet de fustiger les personnes dans son opposition qui se permettent d’émettre des idées concernant ce qui touche au fonctionnement interne de la faction pro OUATTARA.

    Au delà du rejet, c’est avant tout de l’admiration refoulée car les pro GBAGBO, bien que réprimés par un pouvoir oppressif depuis plus de 7 ans, ont toute la liberté de discuter de ce que peuvent valoir les instances de leur parti et de la faction. L’ordre hiérarchique y est clairement défini et le combat est motivé par des valeurs propres, démocratique et légitimes. La faction pro GBAGBO n’a de fait rien a devoir à qui que ce soit.

    La douleur refoulée du poussiéreux, et qu’il affirme ici tant bien que mal, malgré lui, c’est de reconnaître que dans son parti politique, l’ordre de succession, sinon le successeur est défini par des techniciens et stratèges installés à PARIS, à qui OUATTARA doit son pouvoir, sa sécurité, sa retraite…

    L’élection présidentielle qui doit être la seule chose qui devrait motiver les ivoiriens, lors d’un scrutin libre, transparent et dénué de fraude, devient une succession présidentielle ordonnée par PARIS, lors d’une joute falsifiée et tronquée, qui verra la désignation d’un successeur à OUATTARA, choisi par les bons soins de l’Elysée.

    Voici en quelque sorte le scénario qui se dessine, vu que OUATTARA semble vouloir se retirer pour laisser la place à la soi-disant jeune génération dont personne ne devine le nom et l’âge.

    Tous les idéaux démocratiques, toutes les valeurs politiques qui ont motivé les sympathisants à cette faction, venue, dit-elle, « rétablir la démocratie » en renversant GBAGBO LAURENT lors d’une guerre fratricide, se retrouve en train de DESIGNER le successeur de OUATTARA sur une base purement despotique et sur ordre du protecteur dans l’ingérence, devant les acclamations d’une faction minoritaire qui ne compte plus que sur la fraude et l’usage de la violence pour se maintenir au pouvoir et non sur le plébiscite dont pourrait se vanter une majorité présidentielle !!

    La messe serait dite ?? En effet, si l’oppression et la fraude sont appliquées à l’opposition, mais cela n’est pas nouveau car depuis 2010 au moins, c’est un mode opératoire acquis et validé depuis PARIS.

    Là n’est pas le problème.

    Le problème est de savoir ce que les pro OUATTARA ressentent devant ce tableau accablant de fin de règne. Du moins, ceux parmi les pro OUATTARA qui ont ingurgité la propagande goulument et qui croyaient sincèrement que OUATTARA apporterait à leur pays un vent de changement salvateur pour la démocratie et les valeurs éthiques et morales républicaines que l’on refusait à GBAGBO LAURENT, GUEI ROBERT, BEDIE et son prédécesseur.

    Le patient, déçu et aigris, aurait aimé qu’il se forme une collusion autour du RDR, qu’il se soit dégagé un héros « élu » au sein du parti, un héros de valeur et de teneur (pas HAMBAK ni SORO), que ce soit OUATTARA ou tout autre, et qu’il se soit déroulé un scrutin avec un raz de marée républicain pluriel autour d’un RHDP soudé, sans avoir le besoin de frauder, tant le plébiscite aurait été massif.

    Alors ce patient aurait eut le droit, sinon l’obligation de se moquer de son opposition, devenue minoritaire et amorphe.

    Mais voilà, la réalité est cruelle, elle est inamovible et elle est blessante ; en 10 ans, OUATTARA n’aura pas su faire de son parti politique un parti d’envergure, sinon le parti d’envergure de Cote d’Ivoire. Il se sera appuyé sur le PDCI pour faire passer sa pilule et sa forfaiture en 2010 et 2015, sans lui renvoyer l’ascenseur, comme convenu pour 2020. OUATTARA n’a pas su se choisir un héritier et l’installer pour préparer les esprits à ce changement de mentor. Indéboulonnable, il s’est cru, mais mortel et obsolète, il demeure.

    Et vu que les intérêts des faiseurs de rois occidentaux risquent d’être menacés, on recevra des conseils, sinon des ordres venant d’ailleurs.

    Le patient, déçu, ne saura comment faire pour marquer son mécontentement envers son mentor et sa troupe qui n’a pas su se forger cette carrure démocratique qui permet de demeurer « indéboulonnable ».

    Et au lieu de trouver « la » solution, par dépit, par aigreur il choisira de tirer sur l’adversaire qu’il admire pourtant inconsciemment et sur lequel son parti RDR aurait du prendre exemple en matière d’évolution démocratique et de collusion de faction…

    Non, le bateau prend l’eau, les barques sont endommagées, les souris quittent le navire, seul les rapaces et les vautours essaient encore de grappiller quelques miettes autour de la table dressée en l’honneur de l’hôte pensif, atterré et accablé…

    C’est une fin de règne qui s’annonce !! Et pourtant le soleil, s’il se couche, finit toujours par se lever et la vie continue…

    Et si vous tombez, ne trouvez pas la cause à votre chute ailleurs. Vous avez introduit les germes de votre propre défaite au moment même ou vous choisissiez votre mentor !!

    Dabakala !!

  7. Ha oui la vie continue….
    Ça on ne la voit pas dans la secte haineuse paresseuse groggy suite à une chute verticale comme un fruit pourri écrasé,eclaté et dispersé sur un sol éburnéen( authentique!!!).Dans cette secte politique où à peine le gourou fut éloigné de ses fidèles juste pour un voyage glacial,les héritiers se déchirent et même se portent des coups verbaux que physiques en pleines périodes de recueillement devant le regard amusant d’un gériatre capricieux poussiéreux qui devrait en principe passer le témoin.
    Et selon l’erotomane mal aimé après ses prouesses d’escroquerie au nom de l’historien,dans ses délires schizophrèniques habituels ( en arborant la tenue blanche usurpée du psychiatre) se croit le chef de service d’unité des malades mentaux à faire rire le personnel médical oublie la division et les querelles d’ego mal contenu des héritiers auto-proclamés.
    La lorgnette est difficile à apprécier quand on souffre d’un strabisme prononcé.

    Sauwasse mi-cancre idiote…

    À chacun sa lorgnette!!!

  8. « Ça on ne la voit pas dans la secte haineuse paresseuse groggy suite à une chute verticale comme un fruit pourri écrasé,eclaté et dispersé sur un sol éburnéen( authentique!!!).Dans cette secte politique où à peine le gourou fut éloigné de ses fidèles juste pour un voyage glacial….. »

    Oui, la prose a changé chez le patient. Les verbes conjugués, les temps et modes employés, un effort marqué et intentionnel est produit pour élever le niveau d’expression, tout ceci à cause d’un complexe d’infériorité développé à la suite de la lecture quotidienne de mes missives sur ce site. Et pourtant, l’art de l’argumentation se repose avant tout sur le fond de l’intervention et non la forme qui n’est qu’un emballage (@didiga par contre choisira le cri tribal comme mode d’expression et de réconfort à l’endroit du compère. C’est légitime !! Je passe donc !!)

    Comment expliquer au poussiéreux que la sauce graine, quelque soit la forme du plat plat dans lequel elle est servie (si on suppose qu’il est propre), aura toujours le même gout ???!!

    Non, fournir l’effort de la prose barbare qui trahit le manque d’exercice en la matière, n’est pas une réponse ou une défense. Tout est dans le contenu de ce qui est produit et disséquer ou me moquer du complexe du prochain n’est pas le but ou la peine.

    Par contre, les propos tenus par le patient poussiéreux sont plus que révélateurs d’un état d’esprit qui devrait nous intéresser.

    « les héritiers se déchirent et même se portent des coups verbaux que physiques en pleines périodes de recueillement devant le regard amusant d’un gériatre capricieux poussiéreux qui devrait en principe passer le témoin. »

    Si on oublie ici les lourdeurs grammaticales, on croira que le patient veut se consoler en évoquant des pseudo batailles entre héritier au sein de la faction adverse, dans laquelle GBAGBO LAURENT, selon le poussiéreux, « devrait » passer le témoin.

    Mais de quoi parle donc le petit poussiéreux ?

    Le FPI a subit les coups de la perversion et de la forfaiture OUATTARA, qui aura pris le pouvoir par les armes, grâce aux français. C’est cela le contexte. OUATTARA aura pris le soin de tout faire pour que le FPI ne puisse se relever après avoir confisqué ce pouvoir.

    Qu’a t-il fait ?

    Il a tout simplement écrasé toutes les personnes qui pourraient à terme reprendre le combat là où il s’est arrêté : SIMONE EHIVET GBAGBO, mais aussi ASSOU ADOU, ont été mis au cachot. D’autres personnalités ont été forcées à s’exiler, après avoir subi le gel de comptes et l’émission de divers mandats d’arrêt internationaux non exécutés par des pays frères, on sait pourquoi.

    La parade au sein du FPI fut simple et efficace, assurer la gestion quotidienne du parti par des personnes qui ont déjà donné et que le pouvoir ne peut plus frapper (SANGARE, AKOUN…), installer GBAGBO LAURENT comme le seul chef de parti et le seul candidat de celui-ci afin de ne plus afficher de personnes pouvant conduire le parti, en attendant le bon moment pour canaliser tout le plébiscite de GBAGBO LAURENT à travers un candidat que le pouvoir ne pourra pas frapper.

    Et ça marche.

    Quant aux épiphénomènes divers au sein du parti, ils se sont désintégrés d’eux-mêmes : KOULIBALY a eu la mauvaise idée de créer son propre parti, en espérant vider le FPI de sa substance. Le LIDER est un micro parti sans teneur et sans valeur démocratique. AFFI qui aura décidé de se compromettre en pactisant avec le pouvoir OUATTARA, ne doit son soutien qu’au simple fait qu’il se revendique de GBAGBO LAURENT et qu’il militerait pour sa libération, malgré le fait que celui-ci lui ait interdit l’usage de ses photos et images lors de ses meetings. Conclusion, derrière AFFI se trouvent des pro GBAGBO et non des pro AFFI, ce qui rend cette collusion de faction toujours entière, même si AFFI croit avoir le crédit que le pouvoir lui donne… Mais on parle ici encore d’une autre cabine téléphonique sans véritable poids politique sur le terrain…

    « La lorgnette est difficile à apprécier quand on souffre d’un strabisme prononcé. »

    Le patient a pour stratégie de verser dans la diversion en évoquant des blessures « internes » au sein du FPI, espérant que votre serviteur s’en saisirait et oubliaient quelque peu le clan des poussiéreux qui subit ses propos sans pouvoir se défendre…

    Oui, bien essayé, mais c’est plutôt l’effet contraire que cela provoquera, car la collusion de faction au sein du FPI, c’est justement ce dont le RDR rêve à l’heure actuelle. Cette résistance face à l’oppression et la répression, cette collusion et cette homogénéité qui tient la route et le cap, huit ans après, avec un principe de combat pur et cohérent, avec un soutien total envers une personne injustement incarcérée, dont les concurrents n’arrivent pas à effacer le charisme et l’aura, cette présence de faction qui est proportionnelle à son absence lors de scrutins boycottés, qui se sont tous manifestés par ces désert électoraux que OUATTARA et sa machine à tricher ont eu du mal à falsifier …

    Non, le RDR se souhaite d’avoir cette carrure de parti que le FPI présente et cela a été dit maintes fois par les cadres du parti qui fustigeait lors de meetings récents les pro OUATTARA, en leur demandant de garder le cap, de rester soudés, en leur donnant comme exemple les pro GBAGBO qui comme un seul homme se tenaient derrière GBAGBO LAURENT, quand parmi les pro OUATTARA, on se permettait de critiquer de plus en plus le mentor, pour ses décisions plus que discutables.

    Doit-on parler du FPI et des pro GBAGBO en guise de diversion ??

    Non, c’est plutôt du dilatoire, car parler des pro GBAGBO nous ramène inévitablement à parler des pro OUATTARA !!

    Le patient panique et pleure et la seule façon d’aider sa faction, est de se souhaiter que son adversaire se désintègre.

    Mais le FPI et les pro GBAGBO ne peuvent pas descendre plus bas qu’ils ne le sont en ce jour.

    Si l’adversaire « au sol » fait peur, que dira t-on si jamais il se relève (ou plutôt, quand il se relèvera) ??

    Non, le salut du RDR et des pro OUATTARA se trouve dans la façon avec laquelle ils négocieront leur fin de régime, le maintien des acquis politiques, financiers et matériels, les représailles promises ou naturelles, individuelles ou généralisées.

    Il s’agit de justice et jusqu’ici, la justice, c’était les pro OUATTARA, qui en faisaient ce qu’ils en voulaient, selon leur humeur.

    Que deviendra t-elle quand ils quitteront le pouvoir (et ils le quitteront, je vous le garantis)??

    Voici la raison de la peur et de la panique développée par le patient qui pense pouvoir les oublier en évoquant le camp pro GBAGBO et en parlant de « strabisme », espérant par là que je m’étalerais sur mes propres maux !!

    Non, quelque soit l’argument, on en revient au pro OUATTARA, au RDR, qui est le seul clan actif, à l’honneur, à l’initiative, aux commandes, et qui vit une véritable fin de règne ou début d’empire guerrier, c’est selon …

    Le RDR se doit de trouver « la solution » pour se maintenir au pouvoir, vu qu’il ne pourra pas négocier les termes de son départ en sa faveur.

    Quelle est donc la stratégie de OUATTARA, maintenant que le PDCI est entré dans l’opposition ? Voici le débat qui s’impose au patient et qui pense qu’en parlant de strabisme du contradicteur, il trouve une solution à ses maux propres ….

    Et vu comme ça, ce sont les pro GBAGBO qui sont allongés dans leur fauteuil devant le spectacle risible et « amusant », popcornnnnnnnn à la main et les pro OUATTARA à la tache, essayant de sauver l’embarcation, et non le contraire ….

    Strabisme ??

    Pff…..

    Dabakala.

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