L’opposition en deuil en Côte-d’Ivoire avec le décès de Tia Monnet Bertine (AFD), survenu en Inde

Une nouvelle perte pour l’opposition en Côte-d’Ivoire, après le décès du professeur en cardiologie, Raymond N’Dori Yapi.

Une autre mauvaise nouvelle vient en effet de frapper la grande famille de la gauche ivoirienne ce vendredi 14 septembre nuit.

L’ex-collaboratrice de Pascal Affi N’Guessan et ancienne présidente du conseil général du Tonpki Tia Monnet Bertine Tia Monnet est décédée dans la nuit d’hier, a-t-on appris de sources proches de la défunte.

Des membres de la famille annoncent le décès en Inde de l’ex-présidente du conseil régional du Tonkpi .

« Tia Monnet Bertine traînait une longue maladie.» Un cancer selon certains de ses amies. «Elle est donc allée en Inde pour se faire soigner. Son décès est un autre coup dur pour l’opposition et surtout pour la région du Tonkpi », fait-remarquer un proche.

Présidente de l’Union pour la démocratie totale en Côte d’Ivoire (UDT-CI), Bertine Tia Monnet était une figure de proue de l’Alliance des forces démocratiques (AFD), la plateforme de l’opposition que dirige Pascal Affi N’Guessan.

Avec Koaci

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1 réflexion au sujet de « L’opposition en deuil en Côte-d’Ivoire avec le décès de Tia Monnet Bertine (AFD), survenu en Inde »

  1. RIP Mme La Présidente

    Mes condoléances attristées a sa famille biologique et ses alliés.

    Sinon vraiment….!!!

    Ce genre de cadres, qui ramènent tout et tout à leur seule et petite personne, est le prototype du CANCER QUI RONGE le Tonkpi dans l’indifférence des pouvoirs qui se succèdent au sommet de l’état.

    L’état attribue un marché de route à une entreprise locale…?

    Elle fera mains et pieds pour bloquer le projet au motif que l’entreprise appartient à un adversaire politique potentiel.

    Quid de la souffrance des populations ?

    Le cas de la route Biankouma Sipilou, calvaire entre les calcaires routiers, est l’exemple patent de ses oeuvres.

    Jamais l’entreprise de Siguidé Soumahoro, l’ancien ministre, n’a pu faire les travaux. Malgré ses compétences. Malgré les avis de Ageroute. Gbagbo assistait au conflit sans arbitrer et l’argent programmé dormait ou était reaffecté ailleurs. Et Yorodougou pleurait. Et Sipilou pleurait. Dans la totale indifférence !

    Si les Indiens avaient agi comme cela, est ce que nous irions nous soigner chez eux ou pourrions envoyer nos enfants apprendre les technologies informatiques là bas ?

    RIP Mme.

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