Côte-d’Ivoire Une plainte des Wê à la CPI sabotée ? Passe d’armes entre Demba Traoré et Jo Mamadou (Kéi Vao)

Lu pour vous

Génocide Wê: Pourquoi Me Habiba, Demba Traoré et madame Nady Bemba, s’acharnent-ils contre madame Kéi Vao ?

On trouve les Wê à l’ouest de la Côte d’Ivoire, la ville de Man comme chef-lieu de département. Peuple hospitalier, a accueilli sur son sol, une forte population d’allogènes. Pendant la crise qui a renversé le pouvoir du président Gbagbo, ce peuple a payé le plus lourd tribut que le FPI, lui-même, lors de sa dernière fête de la liberté à Douékoué, a publiquement, annoncé de « génocide Wê ».

Force donc est à la loi et les parents des victimes ont souhaité réclamer justice en saisissant la cour pénale internationale, la CPI. Le dossier devenant sans doute gros et risquer, suscite des intérêts. A actionner ce levier, un composite de parents des victimes se met en association pour cette bataille des titans. Ainsi, madame Kéi Vao Martine, native de cette région, résident à Paris et qui a perdu presque la totalité de ses parents dans ce conflit, prend la décision de créer une association loi 1901 française pour que justice soit rendue à tous ses parents tués. Chemin faisant, des sulfureux enjeux s’interfèrent. Un vrai parcours de combattant va s’engager et suivez mon regard.

Si le président Gbagbo a été injustement déporté à la Haye, ce n’est pas parce qu’il avait pris lui-même, les armes pour tirer sur sa population. C’est parce qu’il a été président qu’on lui attribue toutes ces forfaitures. Il a été le président combattu et fort heureusement, plusieurs années après, son inculpabilité a été reconnue et le président Gbagbo va recouvrer la liberté très bientôt.

Par ailleurs, nous ne comprenons pas, la démarche de Me Habiba, Traoré Demba et madame Nady Bemba qui tentent d’arracher ou d’annuler la plainte sous le prétexte que madame Kéi Vao, leur doit plus de 110 000 euros pour les honoraires, alors que la plainte a été déposée à la CPI depuis 2016 et était en cours d’instruction. Ce qui est pathétique et extraordinaire dans leurs démarches, c’est que ces personnes cherchent à occulter la vérité.

Mais d’où est venu tout ce remue-ménage, alors que le président Gbagbo est à un pas d’être acquitté totalement ? Pourquoi déranger le sommeil de ces morts qui veulent absolument que justice leur soit rendues ? Qui sont derrière cette Cabale et pourquoi ? A l’analyse toute faite, il n’y avait pas matière à remuer autant d’abeilles dans leur ruche. Si pour tous ceux qui combattent Martine Kéi Vao avaient conscience qu’on ne se bat pas au chevet des souffrances et avoir de la compassion pour les victimes et s’associer pour leur défense, le pouvoir ivoirien, reconnaîtrait qu’il y a eu vraiment et effectivement génocide mais non, le dossier dérange, sans nul doute, certains coupables et non des moindres. La corruption et les trafics d’influence, rentrent en ligne de compte. Que veulent donc maître Habiba, madame Nady Bemba et Demba Traoré ?

Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com

Demba Traoré « Ma version des faits »

Suite aux interpellations sur ma page je publie ici ma version des faits envoyée à la direction du FPI en 2018 en attendant ma reponse formelle aux mensonges de Jo Mamadou (l’amant de Paris) qui se cache derrière Martine Kei Vao

INTRODUCTION
C’est le Président Sangaré qui disait « quand le mensonge vieillit, il devient vérité » Pour éviter que le mensonge me concernant dans ce qui est de plus en plus appelé “ Dossier Wê “ ne devienne vérité, j’ai trouvé bon de m’auto saisir afin de donner ma part de vérité à la direction de mon parti le FPI. Mon objectif, n’est pas d’en rajouter à la polémique mais de contribuer à la manifestation de la vérité.

I. HISTORIQUE DE MON IMPLICATION DANS LES DOSSIERS DES VICTIMES DE L’OUEST DE LA COTE D’IVOIRE. Après les attaques de Septembre 2002 par ceux qui seront désignés plus tard comme des rebelles, des mouvements rebelles à l’Ouest de la côte d’Ivoire ont commis des atrocités dans les villes de “ Petit Douékoué » et » Guitrozon ». Maitres Hamza Patricia, Micheline Bamba et Narcisse Nabo leur chargé de communication entreprennent en 2003 une visite aux USA afin de saisir l’ONU et les USA par rapport aux atrocités commises par la rébellion. La délégation est restée plus de 2 mois entre Washington et New York. Pendant leur séjour facilité par l’Ambassadeur Kokora Pascal, afin de les aider dans leur campagne de sensibilisation, j’ai créé et hébergé gratuitement le site internet multimédia (ce n’était pas à la portée de tous en 2003 toute humilité mise à part) qui illustrait les atrocités telles que les fausses communes ou les corps jetés dans les puits. En ma qualité de représentant FPI- USA j’ai organisé des levées de fonds et de collecte d’habits en présence de l’équipe de Maitre Hamza pour les victimes de l’Ouest. Bien plus tard en 2011- 2012, en plus de travailler avec les organisations de droits de l’Homme, j’ai nommé le camarade Alain Porquet quand il résidait à New York, dans mon bureau de la Représentation FPI, comme responsable des droits de l’Homme. Nous avons suscité des ONG pour dénoncer les violations de droits de l’Homme en Côte d’Ivoire et particulièrement à L’Ouest. En partie grâce au lobbying du camarade Gnaka Lagoké en 2012, M. Matt Wells de HWR a entrepris une tournée à l’Ouest pour faire sa propre expérience. Avant cela M. Wells qui était un fervent défenseur de Ouattara et était le contradicteur principal du camarade Gnaka Lagoké dans les conférences sur les droits de l’homme à Washington DC. M. Matt Wells qui plus tard sera appelé par la CPI comme expert a fait une déclaration en Novembre 2012 pour dénoncer les atrocités commises par les forces pro Ouattara à l’Ouest et il avait envoyé au camarade Gnaka Lagoké un lien de la déclaration avant sa publication sur la situation en Côte d’Ivoire. (Voir Annexe 1). Avec des membres du bureau de la représentation USA, le groupe de Benelux (Maitre Zokou Sery, Dr Doua Joachim, et le camarade Ben Gnéba, aujourd’hui représentant du parti en Hollande), nous avons traduit en français, anglais, allemand et néerlandais les déclarations sur les violations des droits de l’Homme à l’Ouest de la Côte d’Ivoire. A ce jour dans la plus grande discrétion et même à l’insu de la direction du Parti nous faisons ce que nous avons à faire, c’est à dire notre devoir de militant et de citoyen d’un pays abusé et opprimé

II. RENCONTRE AVEC LES MINISTRES OULAYE ET GUIRIEOULOU En décembre 2012 lors de mon séjour au Ghana , j’ai demandé au camarade Tahi Zoué Etienne mon prédécesseur à la tête de la Représentation FPI -USA, d’approcher les ministres Emile Guiriéoulou et Hubert Oulaye afin que je leur fasse des propositions techniques sur la collecte d’ informations sur les victimes à l’Ouest dans le but de permettre au parti de saisir la CPI dont le Procureur Ocampo venait de faire un tour à Abidjan et selon mes informations, et avait échangé avec Le SG par intérim d’alors le camarade Akoun Laurent. A cette époque, J’avais appelé le camarade Akoun Laurent pour échanger avec lui sur le passage d’Ocampo à Abidjan. Le camarade Tahi et moi avons été reçus par le ministre Hubert Oulaye et avons échangé en présence du ministre Guiriéoulou. J’ai proposé gratuitement mes services pour la mise en place d’une plateforme SMS et Internet aux fins de recenser les victimes d’atrocités des rebelles pro Ouattara à l’Ouest. Le ministre Oulaye parlant au nom des trois m’a dit « Dem nous allons nous concerter et prendre les contacts nécessaires dans nos bases et te faire signe ». Nous nous sommes quittés et peu après je suis parti d’Accra pour Atlanta via Bruxelles. Une fois à Bruxelles, avec maitre Zokou Sery mon tuteur d’alors, avec les camarades du Benelux nous avons tenu une réunion pour voir comment sensibiliser l’Opinion et l’Union Européenne sur les atrocités à l’Ouest. Lors de la réunion j’ai appelé le ministre Hubert Oulaye pour l’informer de l’initiative et le mettre en contact avec une personne ressource Wê qui était à cette réunion, dont il s’est avéré qu’il connaissait le père qui serait médecin en Côte d’Ivoire. Malheureusement, je n’ai plus eu de retour de la part des ministres Oulaye et Guiriéoulou et nous n’avons plus échangé sur la question des victimes jusqu’à ce je rencontre plus tard Mme Martine Kei Vao et que je prenne des initiatives avec le ministre Guiriéoulou comme son contact à Accra.

III. ASSISTANCE FINANCIERE ET MATERIELLE A Mme MARTINE KEI VAO ET SES ASSOCIATIONS – ONG AMERICAINE

Lors d’un de mes nombreux passages à Paris je rencontrais Maitre Habiba Touré pour échanger sur la situation socio politique en Côte d’Ivoire. Ainsi, une fois nous avons évoqué la question des mandats d’arrêt contre les forces pro Ouattara, et elle m’a informé qu’elle était l’avocate des associations de Madame Martine Kei Vao, m’informant que la dame éprouvait d’énormes difficultés ne serait-ce que pour fournir les formulaires de dénonciations aux victimes dans les camps. J’ai dit à maitre Habiba Touré que je pouvais aider. Partant de ce fait, elle a organisé une rencontre avec Martine à son cabinet. Mme Kei Vao m’a effectivement confirmé qu’elle était seule sans aucun soutien et que même des victimes pensait que le Président Laurent Gbagbo lui aurait donné des milliards pour les faire recenser. Elle était sur le point d’abandonner car selon elle tout son salaire y passait. Nous avons identifié les urgences et vu comment je pouvais aider. La priorité était de mettre les formulaires à la disposition des victimes au Benin, et dans les camps au Togo et au Ghana. Une fois les formulaires remplis il fallait les acheminer à Paris pour traitement. Elle m’a donné les contacts de ses correspondants dans les pays concernés et au Ghana le ministre Guiriéoulou était l’intermédiaire entre le contact du Ghana et moi. Chaque formulaire faisant 10 pages et ciblant dans un premier temps 1000 victimes à recenser, il fallait faire 10000 photocopies
et ensuite les transporter du Bénin, du Ghana et du Togo à Paris. Après avoir pris les renseignements sur le prix des photocopies dans la sousrégion il était plus économique de les faire au Benin et les transporter dans les autres pays. Ainsi, en procédant par vague, C’est Tahi Zoué qui était chez moi au Bénin, qui a transporté les premiers lots au Ghana pour les remettre au ministre Guiriéoulou. Quand le premier lot de formulaires au Ghana a été totalement utilisé, c’est au ministre Guiriéoulou que j’ai fait remettre de l’argent pour d’autres photocopies car n’étant plus moi -même physiquement au Benin. J’ai même envisagé la possibilité d’acquérir un photocopieur pour le remettre au ministre. Avant de revenir à Paris je suis passé par Accra pour récupérer les formulaires déjà remplis avec le ministre Guiriéoulou. Mes valises de Cotonou à Paris n’étaient composées que des formulaires de victimes. Une fois à Paris, devant Me Touré Habiba j’ai remis la totalité des formulaires à Madame Kei Vao. C’est également ce même jour que j’ai proposé à Mme Kei Vao et à Me Touré Habiba de venir aux USA pour faire une conférence-levée de fonds ce que Mme Kei Vao a accepté. Par ailleurs, à la Haye en marge de l’ouverture du procès j’ai demandé à M. Ben Zahui alors partenaire de LGTV (une Télé en ligne et sur satellite) de faire une interview aux deux dames afin de dénoncer les crimes commis à l’Ouest. La conférence levée de fond aux USA a été un échec car les cadres RHDP des associations de Martine ont demandé que « Demba Traoré et le FPI ne s’affichent pas avec eux ». Ils disent que « les Wê ont trop été tués à cause de Gbagbo » J’ai entendu cela personnellement de Marcel Doué qui réside à Washington lors des téléconférences pour préparer la Conférence levée de fonds. En dépit de cela, le compagnon de Mme Martine Kei Vao, Jonas Tayé au nom de leurs associations m’a personnellement sollicité (voir email en annexe 2) financièrement et a également sollicité le FPI. Pendant une semaine j’ai pris en charge les frais d’hôtel, de nourriture et la voiture de location pour Me Habiba Touré leur invitée. La Section FPI de Boston a pris en charge son billet Montréal – Washington-DC car c’est de là-bas qu’elle est venue aux USA.

Après la Conférence lors du debriefing à la réception de l’Hôtel où résidait Mme Kei Vao, les responsables FPI qui avaient malgré tout fait le déplacement, en présence de l’ambassadeur Kokora Pascal, ont pris l’engagement de faire une levée de fond FPI pour sauver la face. Une téléconférence à été organisée avec le bureau de la Représentation du FPI pour permettre à Me Habiba Touré de leur exposer les besoins des avocats afin de permettre le recensement du maximum de victimes. En plus de cette téléconférence il y a eu des réunions physiques avec les contributeurs potentiels (les bailleurs). Me Habiba Touré a fait des émissions à la Voi de l’Amérique (VOA) grâce aux contacts du Dr Gnaka Lagoké qui a aussi été un champion dans la dénonciation des crimes commis à l’Ouest. Ce sont pendant les rencontres avec les leaders ivoiriens aux USA que des personnes ont proposé de payer directement les avocats car n’ayant pas confiance aux responsables des associations de Mme Kei Vao résidants aux USA ; selon ces personnes, la méfiance venait du fait qu’il y aurait déjà eu des cas de détournements. Me Habiba Touré a refusé qu’on lui verse directement de l’argent car selon elle « un avocat ne prend de l’argent qu’avec ses clients ». Le compromis trouvé a été de demander à Mme Kei Vao de créer une branche américaine des associations qu’elle dirigerait et qui comprendrait les représentants « des bailleurs de fonds ». Cette ONG américaine commettrait Me Touré Habiba et Me Dadjé Rodrigue comme avocats et cela justifierait le paiement d’honoraire qu’ils recevraient. Madame Martine Kei Vao a été au départ réceptif à cette idée et a même soumis l’idée aux membres de son association voir (PV audio de la réunion https://soundcloud.com/user-417868845/reunion-solidarite-we ). Pourtant, quelques jours plus tard, sous l’influence de Marcel Doué cadre RHDP et allié de Mme Kei Vao aux USA l’idée a été présentée comme « un déshonneur pour le peuple Wê » et sera plus tard dépeinte comme la tentative de vendre le dossier Wê à une ONG appartenant à Georges SOROS ou à Guillaume Soro selon les inspirations des détracteurs du moment. L’autre fait notable, est que les personnes vivants aux Etats Unis et prêtes à contribuer financièrement pour que la vérité soit sue, avaient souhaité que
les dénonciations soient étendues à tous les ivoiriens qui ont subies les exactions des forces pro Ouattara, certains membres des associations de Mme Kei Vao, notamment Jonas Tayé lui aussi RHDP et son compagnon (voir annexe 3) ont estimé que ce serait diluer le « génocide Wê ».

IV.ECHEC DE LA MEDIATION DE JO MAMADOU ET DE DEMBA TRAORE

En Septembre 2016, de retour des USA, j’ai constaté qu’il a commencé à avoir de plus en plus difficultés entre Mme Kei Vao et Me Habiba Touré. D’abord il y a eu une requête de Martine appuyée par M. Jo Mamadou visant à retirer maitre Dadjé Rodrigue du dossier, face au refus catégorique de Me Touré Habiba de se désolidariser d’avec Dadjé, ce fut ensuite le refus des associations de Martine d’accepter l’aide des « bailleurs » des USA, et le refus d’étendre la dénonciation des crimes à toutes les victimes pro Gbagbo. Après cela, Les Avocats ont ensuite commencé à réclamer activement leurs honoraires et frais à Mme Kei Vao en lui rappelant qu’elle a refusé de l’aide de la part « des bailleurs » aux USA qui auraient pu servir à la cause Wê. Plus tard Mme Kei Vao fera une visite au Ghana en décembre 2017 dans les camps de réfugiés où elle tiendra de propos tribalistes du genre (Demba et Habiba sont des Dioula qui ont vendus les dossiers des victimes à leur frère Ouattara). Pour défaire ce mensonge grossier Maitre Dadjé Rodrigue fera à son tour une visite dans les camps au Ghana, le succès de sa visite va provoquer une campagne de dénigrement sans précédent sur Facebook manipulée par Jo Mamadou et sa concubine Martine Kei Vao contre le Président Laurent Gbagbo, Madame Nady Bamba, Rodrigue Dadjé, Habiba Touré et moi-même Demba Traoré.

V. LA MANIPULATION DES CYBERACTIVISTES

Pendant que Rodrigue était au Ghana, des « cyber activistes » à la solde de Jo Mamadou lancent simultanément des attaques personnels contre Me Rodrigue Dadjé et Mme Nady Bamba, je ne reproduirai pas ici les insanités déversées sur les réseaux sociaux, mais ce qu’il faut noter c’est que même la vie privée du Chef n’a pas été épargnée. Plus tard quand l’information selon laquelle Jo Mamadou est interdit de visite auprès du chef, sera connue et relayée sur les réseaux sociaux, les insultes contre le chef et son entourage s’amplifieront, les  » Nordistes autour du Chef sont taxés de rebelles tantôt au service de Soro Guillaume, tantôt au service de Georges Soros « . Les portes voix de Jo Mamadou sur Facebook vont jusqu’ à étaler des situations qui se seraient passées entre le Chef et des membres de sa famille. Au moment où j’écris ces lignes 29 Avril 2018, Jo Mamadou continue d’alimenter les cyber activistes pour maintenant s’en prendre directement au Chef qu’il défi ouvertement et en toute impunité au nez et à la barbe de tous.

VI. CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS

Personnellement je continuerai de dénoncer les violations de Droits l’Homme tant à l’Ouest que partout en Côte d’Ivoire. Je reste persuadé que les populations Wê massacrées l’ont été plus parce que soutenant le Président Laurent Gbagbo. Comme les Wê, des nordistes ont été massacrés, tout comme des Abourée à Bonoua et des Ebrié à Ando koï Kouté…. Demander que toutes les victimes aient droit à une justice n’est en rien minimiser la douleur du peuple Wê encore moins vouloir diluer ou ignorer le Génocide Wê. On ne peut donc pas demander Justice pour les Wê en sollicitant des non Wê et refuser dans le même temps que Justice soit rendus aux victimes non Wê.

C’est la recherche d’une Côte d’Ivoire juste et équitable qui m’a conduit au FPI en 1990. Si au FPI on a cultivé la liberté de la Parole, cette liberté ne doit pas conduire à un libertinage sauvage sur les réseaux sociaux. Je voudrais terminer en proposant que le FPI et tous les cadres Pro Gbagbo de l’Ouest s’approprient la dénonciation des crimes commis contre les Pro Gbagbo quelque soient leur appartenance ethnique afin que des mandats d’arrêt soient émis le plus rapidement contre des forces pro Ouattara et les politiques du camp Ouattara car depuis 2002 soit 16 ans après le déclenchement de la rébellion des bourreaux sont toujours en liberté sans la moindre inquiétude, et les victimes transformées en bourreaux.
Traoré Demba, militant du Front Populaire Ivoirien.

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