Genève/Conseil des droits de l’homme: Amon-Tanoh réaffirme les engagements de la Côte-d’Ivoire

Réunion de l’Alliance pour le multilatéralisme-43e Conseil des droits de l’homme

Marcel Amon-Tanoh réaffirme les engagements de la Côte d’Ivoire

Du 24 février au 20 mars prochain se tient à Genève en Suisse le 43e Conseil des droits de l’homme. Le ministre des Affaires étrangères, Marcel Amon-Tanoh porte la parole de son pays à cette haute tribune dédiée au droit international humanitaire.

La Côte d’Ivoire est convaincue que seule la coopération internationale peut permettre de résoudre les problèmes. C’est un point d’honneur de participation à cette rencontre du chef de la diplomatie ivoirienne. L’Alliance pour le multilatéralisme, appendice du Conseil des droits de l’homme est un réseau créé par la France et l’Allemagne, en marge de l’Assemblée générale des Nations-Unies de septembre 2019 à New-York.

A Genève où s’est ouvert, le mardi dernier, la réunion sur l’alliance contre l’impunité dans le monde, le ministre des Affaires étrangères, Marcel Amon-Tanoh, a confirmé la position de la Côte d’Ivoire au sujet des sanctions systématiques à l’encontre des crimes internationaux et le renforcement du droit international.
Pour ce faire, le représentant ivoirien a réitéré l’engagement du chef de l’Etat ivoirien, M. Alassane Ouattara, à lutter contre l’impunité et à s’impliquer dans le désarmement des combattants dans les conflits armés survenus en Afrique et dans le reste du monde.

‘’Le gouvernement ivoirien n’a ménagé aucun effort, en partenariat avec l’ensemble des acteurs, y compris les organisations de la société civile, pour lutter contre les violations des droits de l’homme, contre l’impunité, et pour la protection des infrastructures scolaires et sanitaires en temps de conflit.

Au cours de son mandat de membre non permanent du Conseil de sécurité en 2018 et 2019, la Côte d’Ivoire a apporté son soutien constant sur ces questions. Elle n’a manqué aucun débat sur la situation humanitaire, en Syrie, au Yémen, sur le continent africain, ou ailleurs. Elle a toujours appelé au respect du droit international humanitaire. Elle a également pris part au débat sur la Cour pénale internationale(CPI) ou sur le mécanisme international appelé à exercer les fonctions résiduelles des tribunaux pénaux, dont elle a fermement soutenu les processus d’enquêtes, défendu les moyens à fournir, et plaidé pour la complémentarité avec les juridictions nationales », a soutenu le chef de la diplomatie ivoirienne.

Eric-N’DA

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