Parkerplace Côte-d’Ivoire: Le Jamaïcain Clinton Fearon aide Alpha et Aelyssa à se faire un nouveau moral (thérapie)

Tout en leur souhaitant un heureux ménage, il a dédié au couple « Get Ready », un chant qui remonte le temps où il était au sein des Gladiators avec Albert Griffiths.

Par Saydoo KONÉ

Mais, le chant, qui parle à Alpha Blondy, est un « pansement » pour ce qu’il traverse depuis les lendemains de son mariage.

Au volant d’une Range Rover, couleur rouge, la star Alpha Blondy accompagné de son épouse, Aelyssa Dagarri est arrivé samedi 28 février au Parker Place, situé Rue Paul Langevin en Zone 4, à Marcory.

Son entrée dans le temple du reggae, comme sur une scène, la vibe au corps, le chanteur habillé d’un ensemble costume bleu, chemise blanche et casquette, se laisse entraîner par « Keep on Knocking » chanté par Ras Kalif, accompagné par les Kingston Gangstar. Venait de commencer avec Anna STEW, précédant Kalif, la première partie du concert annonçant le Jamaïcain Clinton Fearon.

Aelyssa Daggari, épouse Koné, comme son mari, n’est point timide, plutôt décontractée. Le couple, surveillé par deux bodyguards, est installé côté scène.

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C’est le chanteur Spyrow Fayaman qui a fait office de présentateur, introduisant Clinton Fearon très attendu par le public.
Le chanteur, une cinquantaine d’année d’expérience, sait emballer son public. Pas mieux que « Brother Music », sorti à la fin des années 90 pour habiter la scène d’une vibration forte. Vocalise impressionnant (Clinton), musicalement reggae-attitude les Kingston Gangstar ont du mérite.

Musique – thérapie, Clinton Fearon, poète, en appelle aux vertus de l’art. « Musique-frère, rends moi heureux de l’intérieur. Oh, ma soeur-rythme, procures moi de la joie et la paix intérieure. Tel l’arc en ciel pour colorier mon esprit ».
Des enseignants que lui ont transmis son père, Clinton Fearon dans un moment d’intermède conseille : « Faites ce qui aimez. Aimez ce que vous faites. Soyez bons avec vous-mêmes. Nous n’avons pas besoin d’être pauvre pour être bons ni riches pour être bons.

Ses hommages sont allés à l’endroit du chanteur Aimaan Raad qui l’a fait venir pour la première fois à Abidjan en 2018. S’il avait par le passé rencontré Alpha Blondy, à la Radio Alpha Blondy Fm, lors de son premier séjour qu’ils longuement et tranquillement bavarder. « Je suis heureux d’être des vôtres. Continuez de faire ce que vous faites. L’amour est la clé », précise Clinton Fearon.

Sur les bords de la lagune Ebrié, depuis le 10 février, Clinton Fearon et son épouse Catherine sont arrivé plus tôt Abidjan parce que invités par Alpha Blondy et Aelyssa à leur mariage.

Pour celui qui se dit « pas bon parolier », Clinton ne s’est pas retenu de parler d’amour. « L’amour dirige le monde. Ce quelque chose qu’on ne peut contrôler. Voilà pourquoi quand sœur Aelyssa et mon frère Alpha Blondy m’ont invité à leur mariage, j’étais si heureux. Je n’ai résisté. J’ai dit : J’arrive, je serai là ».

Le One Love de la FIN

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« Même si tu es vieux, vient danser cette mauvaise vibration. Si tu es frappé par de gros remords, Jah (Dieu) pansera ton cœur blessé. Oublies la tristesse, car je sais certainement qu’il y aura de la joie. Car, je sais que demain Jah guérira ton mal ».
C’est au son de One Love de Bob Marley interprété par Clinton, Aimann, Kalif, Anna STEW que la concerta pris fin. Clinton Fearon quittera Abidjan, lundi, pour Paris en France avant de regagner Seattle, aux États-Unis.

Koné SAYDOO
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