L’OMS et l’Onu jouent-elles la transparence sur les conséquences possibles du covid-19 en Afrique ?

Anango Plan

L’ONU et l’OMS, sa structure médicale, jouent les Cassandre. Alarmistes à souhait, ces organisations prévoient l’apocalypse en Afrique, surtout subsaharienne, à la faveur de la pandémie du coronavirus.

Pourtant, l’Afrique, avec 54 pays indépendants, a compté, au 2 avril 2020, 221 décès contre 13.915 en Italie, 10.935 en Espagne, 6.059 aux États-Unis d’Amérique et 3321 en Chine.

À cette même date, la Côte d’Ivoire tire son épingle du jeu. Le pays recense 194 cas confirmés, 15 déclarés guéris et un seul décès.

L’on peut soupçonner légitimement que, de la part de l’ONU et de l’OMS, il s’agit d’une mise en scène que les Ivoiriens appelaient anango plan. L’objectif final est de préparer psychologiquement et mentalement les esprits pour le vaccin contre le coronavirus.

Le 16 mars 2020, quatre patients ont reçu le vaccin au centre de recherche Kaiser Permanente, à Seattle, dans l’État américain de Washington. Mais l’Afrique noire devrait devenir le terrain d’expérimentation à grande échelle du vaccin contre le coronavirus.
Dans cette affaire de gros sous, Pr Didier Raoult, infectiologue et professeur de microbiologie, a mis du sable dans l’attiéké, c’est-à-dire a faussé le calcul des grandes firmes pharmaceutiques mondiales.

La chloroquine que ce chercheur français a défendue bec et ongle contre même l’avis de son pays, a fini par être intégrée au protocole thérapeutique de lutte contre le covid-19. Au grand dam de ces sociétés, coiffées au poteau.

Mais il existe toujours un plan B, le vaccin pour renflouer les caisses. L’ONU et l’OMS, aiguillonnées par ces grandes boîtes, sont donc à la manœuvre pour obtenir l’adhésion des dirigeants noirs africains.

À la tête de pays sous perfusion financière et donc sous diktat, ils restent les maillons faibles du puzzle. Ils exécutent la volonté des puissances occidentales, et risquent de faire de leurs compatriotes des cobayes d’une opération sanitaire qui pourrait s’avérer mafieuse.

F. M. Bally
Au siège de OMS à Genève, le 24 février 2020, Tedros Adhanom Ghebreyesus (à gauche) DG de l’OMS et Antonio Guterres, SG de l’ONU, (au centre): «Le système des Nations Unies, y compris l’Organisation mondiale de la Santé, est pleinement mobilisé.»

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