« Un homme qui n’a pas de parole ne mérite pas le respect. Un président qui n’a pas de parole et qui viole la Constitution de son pays mérite encore moins le respect.
J’avais dit il y a 11 ans à l’historienne Henriette Diabaté, qui m’avait convié dans son bureau pour vanter les mérites d’Alassane Ouattara et espérer mon ralliement, que cet homme n’était pas un démocrate. J’avais rapporté ici sur Facebook notre échange. C’était le 23 septembre 2009.
Elle m’avait répondu qu’il avait changé et qu’elle était la garantie de ce changement. Pauvres gens qui croient que le pouvoir est éternel alors que tout n’est que chimère et poursuite du vent. Ni Ouattara. Ni Bédié. Ni Gbagbo. Ni Soro. Aléa jacta est. »
Serge Bilé
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